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Heinrich Rickert

    25 mai 1863 – 25 juillet 1936
    Die Grenzen der naturwissenschaftlichen Begriffsbildung
    Zwei Wege der Erkenntnistheorie
    The limits of concept formation in natural science
    Science de la culture et science de la nature
    Les problèmes de la philosophie de l'histoire
    Les deux voies de la théorie de la connaissance
    • Paru en 1909 dans les Kant-Studien, Les deux voies de la theorie de la connaissance constitue une piece maitresse du debat qui opposa le neokantisme a la phenomenologie naissante. Heinrich Rickert, qui fut avec Windelband et Lask l'un des principaux representants de l'ecole neokantienne de Heidelberg, y expose de facon claire et synthetique les principes methodiques qui fondent sa philosophie critique. A travers un dialogue constant avec les Recherches logiques de Husserl, Rickert distingue deux voies ou deux methodes que peut suivre la theorie de la la methode psychologico-transcendantale (ou noetique ), correspondant a l'analyse de l'acte de juger, et la methode logico-transcendantale (ou noematique ), correspondant a l'analyse du sens propositionnel. Comment ces deux methodes s'articulent-elles? Quelle est leur contribution propre au programme critique? Et quelles sont leurs limites respectives? Sur ces questions, la position de Rickert se revele aussi riche et innovante que celle de Husserl, dont elle differe sensiblement. L'aspect a la fois polemique et concis de ce texte en fait un document essentiel pour la connaissance de l'ecole de Heidelberg et, plus generalement, pour l'etude du neokantisme dans son ensemble.

      Les deux voies de la théorie de la connaissance
    • Heinrich Rickert (1863-1936) est la figure dominante de l'école néo-kantienne, dite de Bade, dont le principal inspirateur fut Windelband. C'est sous sa direction que Heidegger fit sa thèse, et l'oeuvre qui est ici pour la première fois traduite constitue le socle philosophique et méthodologique de Max Weber.La pensée de Rickert est d'abord une réflexion philosophique sur la logique - jugement, définition et concept - et se développe en une épistémologie des différentes disciplines scientifiques, moins pour en donner une classification descriptive que pour réagir à la fois à l'apparente autonomisation des sciences de la nature, à la volonté hégémonique de telle ou telle discipline - la psychologie et l'histoire, notamment - et à l'apparition de sciences nouvelles : la biologie, la théorie de l'évolution. Rickert montre qu'on ne saurait comparer des disciplines dont la finalité est l'explication ou la description des phénomènes de la nature, avec des disciplines, comme l'histoire ou la sociologie, dont le but est la compréhension des événements humains.Rickert jette ainsi les bases d'une philosophie de la valeur qui est à l'arrière-plan de tous les débats en sociologie et en philosophie politique depuis près d'un siècle.

      Science de la culture et science de la nature
    • Heinrich Rickert (1863-1936) was one of the leading neo-Kantian philosophers in Germany and a crucial figure in the discussions of the foundations of the social sciences in the first quarter of the twentieth century. His views were extremely influential, most significantly on Max Weber. The Limits of Concept Formation in Natural Science is Rickert's most important work, and it is here translated into English for the first time. It presents his systematic theory of knowledge and philosophy of science, and deals particularly with historical knowledge and the problem of demarcating the natural from the human sciences. The theory Rickert develops is carefully argued and of great intrinsic interest. It departs from both positivism and neo-Hegelian idealism and is worked out by contrast to the views of others, particularly Dilthey and the early phenomenologists.

      The limits of concept formation in natural science
    • Die Grenzen der naturwissenschaftlichen Begriffsbildung

      Eine logische Einleitung in die historischen Wissenschaften

      • 764pages
      • 27 heures de lecture

      Die historische Wissenschaft wird in diesem Werk durch eine logische Perspektive beleuchtet, die die Grenzen der naturwissenschaftlichen Begriffsbildung hinterfragt. Der Autor bietet eine tiefgehende Analyse der methodologischen Grundlagen und der Entwicklung wissenschaftlicher Konzepte, die für das Verständnis der historischen Disziplinen von Bedeutung sind. Der Nachdruck der Originalausgabe von 1896 ermöglicht es, die zeitlosen Überlegungen und Theorien des Autors in der heutigen Diskussion um Wissenschaft und Geschichte zu reflektieren.

      Die Grenzen der naturwissenschaftlichen Begriffsbildung
    • Rickerts „Grenzen" gehört zu den Monumenten der Philosophie vor den beiden Weltkriegen. Mit Scharfsinn, Übersicht und ebenso tiefgreifender wie umfassender Argumentation gibt Rickert eine begriffslogische Begründung der umstrittenen Wissenschaftlichkeit der Historie (als Kulturwissenschaft). Das Werk hatte großen interdisziplinären Einfluss, wenngleich die breite Rezeption nicht selten an seinen denkerischen Ansprüchen ihre Grenzen fand.

      Heinrich Rickert: Heinrich Rickert: Sämtliche Werke/Die Grenzen der naturwissenschaftlichen Begriffsbildung. Eine logische Einleitung in die historischen Wissenschaften.
    • In seiner Einführung zu geschichtsphilosophischen Fragen unterscheidet Heinrich Rickert das individualisierende Verfahren der Geschichtswissenschaft von den Generalisierungen der Naturwissenschaften. Diese Gedanken hat er bereits in seiner Studie über die Grenzen der naturwissenschaftlichen Begriffsbildung und in Kulturwissenschaft und Naturwissenschaft ausführlich behandelt. Die vorliegende Schrift erlangt eigenständige Bedeutung, da sie die Geschichtsphilosophie umfassend behandelt und die Betrachtung über die Logik der Geschichte hinaus auf die Prinzipien des historischen Lebens ausdehnt. Mit dem Begriff der Weltgeschichte erweitert Rickert die geschichtsphilosophische Perspektive auf universalgeschichtliche Zusammenhänge. Seine Geschichtsphilosophie ist in einen werttheoretischen Rahmen eingebettet: „Unter allen Umständen aber sind es Werte, mit denen die Philosophie, die von der Logik der Geschichte ausgeht, es zu tun hat.“ Zunächst untersucht er die theoretischen Werte, aus denen die Denkformen des empirisch geschichtlichen Forschens abgeleitet werden, gefolgt von den Kulturwerten, die die Geschichte als ein sinnvolles Gebilde konstituieren, und schließlich den Werten, deren Verwirklichung sich im Lauf der Geschichte vollzogen hat. Der Text folgt der dritten, überarbeiteten Auflage von 1924 und wurde typografisch modernisiert.

      Die Probleme der Geschichtsphilosophie