Fortune De France
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Commencée en plein centre du Périgord au milieu du XVIe siècle, cette série nous conduit jusqu'aux lendemains de la mort de Mazarin, alors que débute véritablement le règne du Roi-Soleil.
Cette vaste saga historique transporte les lecteurs dans une époque turbulente de l'histoire de France, s'étendant du milieu du 16e au milieu du 17e siècle. Elle suit la vie d'un personnage central naviguant à la fois dans les plus hautes sphères du pouvoir et dans les luttes quotidiennes du peuple. Le récit est riche en intrigues politiques, en guerres et en drames personnels, dépeignant de manière vivide l'atmosphère dynamique de l'époque. C'est une chronique captivante de la vie, de l'amour et de la survie durant une période de changements immenses.






Commencée en plein centre du Périgord au milieu du XVIe siècle, cette série nous conduit jusqu'aux lendemains de la mort de Mazarin, alors que débute véritablement le règne du Roi-Soleil.
1563-1567 : quatre années de paix entre catholiques et protestants de France. Paix fragile, mais suffisante pour que Pierre de Siorac, héros de Fortune de France, et son frère Samson soient envoyés par leur père étudier la médecine à Montpellier. Voici nos deux frères huguenots sur les grands chemins du royaume, puis parmi les docteurs et apothicaires de l'Ecole de Médecine fameuse dans toute l'Europe. Dissections nocturnes, sorcellerie, amours de grandes dames ou de ribaudes, fréquentation des athées et des sodomites... Et puis de nouveau la guerre civile, les massacres, la fuite... Roman historique, roman picaresque, En nos vertes années nous fait traverser, au rythme de multiples aventures, une époque où la mort et l'horreur quotidiennes n'empêchent ni la soif de savoir ni cette « gaieté d'esprit » chère à Rabelais, où se marque l'immense vitalité de la Renaissance.
Commencée en plein centre du Périgord au milieu du XVIe siècle, cette série nous conduit jusqu'aux lendemains de la mort de Mazarin, alors que débute véritablement le règne du Roi-Soleil.
1572-1588: années « venteuses et tracasseuses » où catholiques et protestants continuent de s'entredéchirer.Quittant de nouveau son château périgourdin, le huguenot Pierre de Siorac retrouve Paris où il devient le médecin, puis l'agent secret d'Henri III.Mûri, mais non vieilli, Pierre va découvrir, au cours de périlleuses missions, les menaces qui guettent le royaume, A l'heure où l'ambitieux Philippe II d'Espagne, mettant à profit nos discordes, arme contre le roi de France le bras du duc de Guise, chef redouté de la Ligue…Tableau saisissant d'un roi au milieu de ses grands féaux, des « quarante-cinq » qui le protègent contre les dagues, du Paris fanatique et rebelle qui le chassera du trône, Le Prince que voilà nous mène parmi les complots, les rivalités, les intrigues qui semblent bien devoir anéantir la « fortune de France ». Pourtant ni l'amitié ni le bonheur de vivre ne perdent leurs droits. Ni l'entrain inépuisable et fécond d'un romancier plus captivant que jamais.
Ce cinquième volume de la saga des Siorac couvre les avant-derniers soubresauts des guerres de religion. L'affrontement fait rage entre ceux qui, comme le très catholique Henri III, désirent faire coexister les deux Eglises, et la Ligue, entretenue par l'or espagnol, qui ne rêve que de massacres et de bûchers. Henri III assassiné en 1589, la France voit grandir l'étoile du huguenot Henri de Navarre, le futur Henri IV. Pierre de Siorac combat dans son armée avant de redevenir agent secret pour de périlleuses missions dans Paris aux mains de la Ligue... Au même rythme prodigieusement vivant et entraînant que dans les précédents volumes, Robert Merle fait revivre seigneurs et capitaines, grandes dames et prédicateurs, multiples figures du peuple de Paris et de la province, et nous mène tambour battant jusqu'à l'entrée du bon roi Henri dans sa capitale...
Šestý a poslední díl románové ságy o osudech Périgorďana Petra ze Sioraku v době náboženských válek ve Francii koncem 16. století zabírá období od roku 1594, kdy Jindřich IV. konečně vstoupil jako král do Paříže, do roku 1599, po vydání Ediktu nantského (13. dubna. 1598), který měl zaručovat náboženskou svobodu. Siorac, nyní už markýz (a jeho věrný sluha Miroul, povýšený králem na rytíře z La Surie) opět koná nejrůznější poslání ve službách králi a často je spojuje se službami krásným dámám, jichž je vždy statečným ochráncem: pro krále získává město Remeš, účastní se boje se Španěly vedenými Mansfeldem a po návratu do Paříže zahajuje dlouhotrvající boj proti jezuitům, kteří jsou sice na jedné straně vzorem kázně, pokorné disciplíny a hlubokého vědění, ovšem jako spojenci Filipa II. Španělského představují uvnitř v zemi neustálou hrozbu. Siorac nechybí ani u intrik kolem Jindřichovy absoluce v Římě roku 1595. Účastní se ještě bojů se Španěly v letech 1597-1599 a po návratu do Paříže končí svou kariéru dvořana, ve které vydržel plných 27 let. Historii svého života dopsal Petr ze Sioraku 4. května 1610. Deset dní poté, 14. května 1610, byl před hostincem U srdce s korunou, probodnutého šípem (Au Coeur couronné percé d´une flèche) zavražděn král Jindřich IV., panovník, který první uzákonil ve Francii princip náboženské snášenlivosti.
Der Hof tanzt, und ein König wird ermordet Der junge Pierre-Emmanuel, Sioracs Sohn, wächst am frivolen Hof Henri Quatres auf. Dieser Hof amüsiert sich, vögelt, tanzt – sein leidenschaftlicher und oft verliebter König an erster Stelle. Aber noch dreißig Jahre nach der Bartholomäusnacht schwelt der fanatische Haß der Katholischen Liga, und der Königsmörder steht bereits in der Menge. "Alexandre Dumas pflegte zu sagen: 'Wenn ich die Geschichte auch vergewaltigt habe, so habe ich ihr doch schöne Kinder gemacht.' Robert Merle beweist seit über zwanzig Jahren, daß man ihr auch wunderschöne Kinder machen kann, indem man sie respektiert." Madame Figaro
Henri iv est tombé sous le poignard de Ravaillac. Le roi Louis XIII n’a que neuf ans. Et une mère, Marie de Médicis, qui entend bien conserver le plus longtemps possible, au profit du Florentin Concini, la réalité du pouvoir. Le chevalier Pierre-Emmanuel de Siorac est le témoin des sept années au cours desquelles l’enfant-roi, qu’il sert avec un dévouement absolu, va en secret tisser son réseau, s’initier aux affaires du royaume, jusqu’au coup de force qui lui donnera le trône à quinze ans et demi. Prêtres intrigants, grands du royaume sevrés d’influence, bourgeois instruits s’emparant des charges : c’est toute la comédie du pouvoir dans ces années incertaines que nous dévoile le romancier de Fortune de France. Ni les secrets, ni les mots, ni les coeurs ne lui échappent, cependant qu’autour du vieux Louvre le peuple de Paris, tour à tour frondeur, généreux et rebelle, chérit son roi plus que quiconque.
22x15,2x3,2cm. Broché.
Avril 1624, octobre 1627. Trois années marquées par de nombreux événements : entrée de Richelieu au Conseil du roi, guerres incessantes contre les huguenots, entreprises galantes du duc de Buckingham auprès de la reine de France... A la cour, les intrigues se multiplient : Anne d'Autriche conspire avec Monsieur, frère du roi, contre son époux. La noblesse insoumise cherche à faire tomber le Cardinal. Exils, geôles, décapitations punissent les rebelles ; le siège de La Rochelle commence. L'Etat royal s'affirme envers et contre tout, à travers la complicité qui se noue peu à peu entre le jeune roi et son ministre. Devenu comte d'Orbieu, Pierre-Emmanuel de Siorac, fidèle agent de Louis XIII, traverse au gré de ses missions les milieux les plus divers : il côtoie courtisans, manants, aubergistes, ribaudes, marins, connaissant autant d'aventures galantes que d'intrigues politiques... Roman au rythme endiablé, tableau d'histoire fidèle et vivant : dans le prolongement de Fortune de France, Robert Merle nous donne un nouveau chef-d'oeuvre.
Louis XIII et Richelieu viennent d'en terminer avec La Rochelle, après un siège terrible qui a fait des dizaines de milliers de morts. De partout naissent des complots, fomentés par le frère du roi, secondé en secret par la reine Anne d'Autriche, qui défend les Espagnols, trouvant une alliance avec de nombreux nobles, qui ne supportent pas la tutelle de Richelieu
Der König ist tot, es lebe der König! König Ludwig führt die letzten Kriege gegen Spanien, lässt den letzten Verschwörer enthaupten, und auch ein Thronfolger wird ihm endlich geboren. In ebenso geistreichen wie galanten Dialogen, in den Amouren einflussreicher Hofdamen, in der ernsten Politik wie im Geschwätz liebreicher Kammerzofen lässt der Autor die dramatische Epoche der französischen Religionskriege ein letztes Mal lebendig werden – zum wahrhaft krönenden Abschluss seines dreizehnbändigen Romanzyklus. „Dramatische Spannung, viel Gefühl und unbändige Lebenslust – alle Zutaten, die es braucht, um den Leser wunschlos glücklich zu machen.“ Le Figaro