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Philippe Delerm

    27 novembre 1950

    Philippe Delerm se concentre sur le quotidien et les petites joies que l'on néglige souvent. Son écriture se caractérise par une observation poétique et une capacité à trouver la beauté dans les moments simples. À travers ses œuvres, il invite les lecteurs à s'arrêter et à apprécier le monde qui les entoure. Ses textes dégagent un sentiment de calme et une douce humeur.

    Philippe Delerm
    Le trottoir au soleil
    Sundborn ou Les jours de lumière
    La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules : récits
    C' est bien
    Le bonheur
    C' est toujours bien
    • »C’est toujours bien« ist die Fortsetzung von »C’est bien« (ISBN 978-3-15-019722-6). Die kurzen Texte sind für Französischlerner ab dem 3. Lernjahr geeignet. Ungekürzte und unbearbeitete Textausgabe in der Originalsprache, mit Übersetzungen schwieriger Wörter am Fuß jeder Seite, Nachwort und Literaturhinweisen.

      C' est toujours bien
    • Le bonheur

      • 165pages
      • 6 heures de lecture
      3,8(4)Évaluer

      Je suis heureux. Est-ce que cela va durer ? Voilà le sujet de ce livre. Ce sera un thriller, le plus authentique du siècle. Je suis cerné de toutes parts, et jusqu'au fond de mon terrier. Sur chaque page va planer une menace de mort ou de cancer, d'accident de voiture, de mal de vivre, simplement. Mais je suis fort, j'ai plein de munitions, je vous en parlerai. Si la menace se précise, vous la vivrez au cœur de mon sang, de mon encre. Si j'en réchappe, nous partagerons le butin. Peut-être... " Un livre panthéiste qui détonne en cette époque atrabilaire, qui réchauffe en plein hiver, et qui confirme le talent singulier d'un écrivain né pour faire une œuvre. Pas moins. " Jérôme Garcin L'Événement du jeudi. Le Bonheur. Tableaux et bavardages est paru pour la première fois en 1986.

      Le bonheur
    • Französische Literatur in Reclams Roter Reihe: das ist der französische Originaltext – mit Worterklärungen am Fuß jeder Seite, Nachwort und Literaturhinweisen. »C’est bien« – nachts auf der Autobahn, wenn man sich hinten auf der Rückbank sanft in den Schlaf wiegen lässt und ganz woanders aufwacht, beim Lesen eines schaurig spannenden Buchs, nach dem Fußballspiel erschöpft und zufrieden im Gras, am Flipper-Automaten, auf dem Rummelplatz, an einem Ferientag am Meer … 20 kurze Erzählungen, in denen Philippe Delerm liebevoll die kleinen Glücksmomente wachruft, die jeder irgendwann erlebt hat. Leicht zu lesen (ab dem 2. Lernjahr), c’est très bien. Französische Lektüre: Niveau A2 (GER) Sprachen: Französisch, Deutsch

      C' est bien
    • Porter les gâteaux du dimanche matin, prendre un porto, écouter le bruit de la dynamo, apprendre une nouvelle dans la voiture, glisser sur le trottoir roulant de la station Montparnasse, mouiller ses espadrilles, avoir un couteau dans la poche, lire le journal au petit déjeuner : des plaisirs minuscules

      La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules : récits
    • Grez-sur-Loing, 1884. Autour de Carl Larsson vit une petite communauté de peintres scandinaves venus tester la lumière tant vantée par ceux que l'on nomme, encore par dérision, les «impressionnistes». August Strindberg est là avec sa famille, Soren Kroyer les rejoint bientôt. Pour Ulrik Tercier, ils représentent la joie de vivre, la passion. Aussi, quand le groupe se délite, décide-t-il de partir pour Skagen, au Danemark, avec Soren Kroyer. Il est dès lors partagé entre différents lieux - Skagen, Grez et Sundborn, en Suède - qui incarnent autant de conceptions de l'art et de la vie. Sundborn ou les jours de lumière, qui met en scène des personnages réels et romanesques, décrit par petites touches, légères et sensibles, les heurts, les cassures, les instants parfaits qui font une vie. Évocation de l'impossible conciliation entre l'absolu de l'art et les nécessaires compromissions de l'existence, ce roman empreint de nostalgie est également une célébration de la joie de vivre, et de peindre.

      Sundborn ou Les jours de lumière
    • Le trottoir au soleil

      • 162pages
      • 6 heures de lecture
      3,0(9)Évaluer

      "A soixante ans on a franchi depuis longtemps le solstice d'été. Il y aura encore de jolis soirs, des amis, des enfances, des choses à espérer. Mais c'est ainsi : on est sûr d'avoir franchi le solstice. C'est peut-être un bon moment pour essayer de garder le meilleur : une goutte de nostalgie s'infiltre au coeur de chaque sensation pour la rendre plus durable et menacée. Alors rester léger dans les instants, avec les mots. Le solstice d'été est peut-être déjà l'été indien, et le doute envahit les saisons, les couleurs. Le temps n'est pas à jouer; il n'y a pas de temps à perdre." En choisissant le côté du soleil malgré toutes les ombres, Philippe Delerm distille dans ces brefs récits le temps qui passe. Il nous livre mieux que personne l'essence de ces petits riens qui composent la vie.

      Le trottoir au soleil
    • « Ce ne sont pas des passionnés de la brocante. Ils hésitent à s’enquérir du prix d’une paire de fauteuils, de couverts en argent. Ils s’éloignent de quelques pas, s’annoncent le prix revendiqué, et l’un deux lance alors : “ Ma grand-mère avait les mêmes ! ” Cela tombe comme une critique de ce marché de dupes où les choses sont vendues infiniment trop cher. »Philippe Delerm a ce talent de décrire comme personne les instants vécus par tous, et de restituer, presque intacts, nos petits agacements, nos plaisirs furtifs, les grands moments de solitude et les émerveillements… Derrière ces petites phrases toutes faites (« On ne vous fait pas fuir au moins ? », « C’est maintenant qu’il faut en profiter »), il démasque les hypocrisies et met à nu l’émotion.Écrivain et « maître confiseur » de la collection Le Goût des mots, Philippe Delerm nous livre son nouveau recueil, dans la lignée de La Première Gorgée de bière et de Dickens, barbe à papa.

      Ma grand-mère avait les mêmes: Les dessous affriolants des petites phrases
    • " Mais la minute qui compte, c'est tout à la fin. Les gestes se sont alentis, le coiffeur vous a délivré du tablier de nylon, qu'il a secoué d'un seul coup, dompteur fouetteur infaillible. Avec une brosse douce, il vous a débarrassé des poils superflus. Et l'instant redouté arrive. Le coiffeur s'est approché de la tablette, et saisit un miroir qu'il arrête dans trois positions rapides, saccadées : sur votre nuque, trois quarts arrière gauche, droite. C'est là qu'on mesure soudain l'étendue du désastre... Oui, même si c'est à peu près ce qu'on avait demandé, même si l'on avait très envie d'être coiffé plus court, chaque fois on avait oublié combien la coupe fraîche donne un air godiche. Et cette catastrophe est à entériner avec un tout petit oui oui, un assentiment douloureux qu'il faut hypocritement décliner dans un battement de paupières approbateur, une oscillation du chef, parfois un "c'est parfait" qui vous met au supplice. Il faut payer pour ça. " Quelques courts textes, pleins d'humour, qui sont autant de petites madeleines, tantôt venues de la mémoire de l'enfance, tantôt contemporaines, et saisies à la surface du temps.

      La sieste assassinée
    • Et vous avez eu beau temps?

      • 158pages
      • 6 heures de lecture
      2,7(14)Évaluer

      "Est-on sûr de la bienveillance apparente qui entoure la traditionnelle question de fin d'été : "Et... vous avez eu beau temps ?" Surtout quand notre teint pâlichon trahit sans nul doute quinze jours de pluie à Gérardmer... Aux malotrus qui nous prennent de court avec leur "On peut peut-être se tutoyer ?", qu'est-il permis de répondre vraiment? À la ville comme au village, Philippe Delerm écoute et regarde la comédie humaine, pour glaner toutes ces petites phrases faussement ordinaires, et révéler ce qu'elles cachent de perfidie ou d'hypocrisie. Mais en y glissant également quelques-unes plus douces, Delerm laisse éclater son talent et sa drôlerie dans ce livre qui compte certainement parmi ses meilleurs."--Page 4 of cover.

      Et vous avez eu beau temps?
    • Je vais passer pour un vieux con

      Et autres petites phrases qui en disent long

      • 144pages
      • 6 heures de lecture

      « Dans la liste des précautions oratoires, celle-ci occupe une place à part. Elle souhaite jouer la surprise par sa forme, une vulgarité appuyée qui aurait pour mission de gommer à l’avance le pire des soupçons : une pensée réactionnaire. L’interlocuteur ne doit pas se récrier avant la remarque promise. Mais une petite réticence aux commissures des lèvres signifiant “Toi, passer pour un vieux con ! ?” semble bienvenue. Elle était espérée. » Traquant nos petites phrases toutes faites, Philippe Delerm révèle pour chacune un monde de nuances et de petits travers. Attendri, moqueur ou mélancolique, il s’attache aux détails qui nous dévoilent un monde. Des mots qui nous échappent, des instants vécus par tous. Philippe Delerm est notamment l’auteur de La Première Gorgée de bière, La Sieste assassinée et Ma grand-mère avait les mêmes.

      Je vais passer pour un vieux con