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Pascal Quignard

    23 avril 1948

    Pascal Quignard est un auteur français dont l'œuvre explore les profondeurs de l'existence humaine avec une délicate élégance. Son écriture, brouillant souvent les lignes entre le roman, la poésie et l'essai, se caractérise par une exploration profonde de thèmes tels que la mémoire, le désir et le silence. L'œuvre de Quignard examine les liens complexes entre l'histoire, l'art et l'expérience personnelle, en employant une prose riche et poétique. Sa voix distinctive invite les lecteurs à contempler la nature éphémère de la vie et le pouvoir durable de l'expression artistique.

    Pascal Quignard
    Le salon du Wurtemberg
    Le sexe et l'effroi
    Terrasse à Rome
    Mourir de penser
    Vie secrète
    Le lecteur
    • 2023
    • 2020

      La collection Fichebook vous offre la possibilité de tout savoir du roman Tous les matins du monde de Pascal Quignard grâce à une fiche de lecture aussi complète que détaillée. La rédaction, claire et accessible, a été confiée à un spécialiste universitaire. Cette fiche de lecture répond à une charte qualité mise en place par une équipe d'enseignants. Ce livre contient: - La biographie de Pascal Quignard - La présentation de l'oeuvre - Le résumé détaillé - Les raisons du succès - Les thèmes principaux - L'étude du mouvement littéraire de l'auteur

      Fiche de lecture Tous les matins du monde (Analyse littéraire de référence et résumé complet)
    • 2017

      La 4e de couverture indique : "Le révérend Simeon Pease Cheney est le premier compositeur moderne à avoir noté tous les chants des oiseaux qu'il avait entendus, au cours de son ministère, venir pépier dans le jardin de sa cure, au cours des années 1860-1880. Il nota jusqu'aux gouttes de l'arrivée d'eau mal fermée dans l'arrosoir sur le pavé de sa cour. Il transcrivit jusqu'au son particulier que faisait le portemanteau du corridor quand le vent s'engouffrait dans les trench-coats et les pèlerines l'hiver. J'ai été ensorcelé par cet étrange presbytère tout à coup devenu sonore, et je me suis mis à être heureux dans ce jardin obsédé par l'amour que cet homme portait à sa femme disparue."

      Dans ce jardin qu'on aimait
    • 2016

      Pascal Quignard poursuit son entreprise littéraire nommée " Dernier Royaume " et nous livre le IX e tome, Mourir de penser, dans lequel il cherche à " éprouver une autre façon de penser qui n'a rien à voir avec la philosophie ". Et l'auteur de nous livrer des anecdotes significatives à travers une série de portraits de Socrate, Pythagore, Montaigne, et autres grands penseurs de l'Occident, tout en méditant sur le bonheur ou l'horreur de penser. Une oeuvre unique dans le paysage littéraire contemporain.

      Mourir de penser
    • 2016

      L'écrivain évoque l'histoire de la rédaction du texte transcrit par le chroniqueur Nithard qui marqua l'acte de naissance d'une langue romaine rustique, distincte du latin et préfigurant la langue française : les Serments de Strasbourg, prononcés en février 842 par les petits-fils de Charlemagne, Charles le Chauve et Louis le Germanique.

      Les larmes
    • 2014

      Un récit dont les protagonistes sont le narrateur et un personnage disparu, auxquels il faudra sans doute ajouter le lecteur de ce livre dont le sujet est le pouvoir destructeur de la lecture. Car lorsque le narrateur s'interroge sur la disparition mystérieuse de ce personnage, nous devons comprendre qu'il s'agit de la sienne propre, et aussi de la nôtre. En effet, en lisant un livre, nous nous abandonnons tous à une sorte de jeu mortel où la personnalité s'abandonne et se perd. Tel est le point de départ original de cette haute méditation sur la lecture, et ses effets ambigus. Mais cette réflexion est menée à travers une oeuvre qui finit par constituer elle-même une aventure poétique et romanesque, le roman du lecteur dévoreur et dévoré.

      Le lecteur
    • 2013

      Les solidarites mysterieuses

      • 272pages
      • 10 heures de lecture
      3,6(11)Évaluer

      "Ce n'était pas de l'amour, le sentiment qui régnait entre eux deux. Ce n'était pas non plus une espèce de pardon automatique. C'était une solidarité mystérieuse. C'était un lien sans origine dans la mesure où aucun prétexte, aucun événement, à aucun moment, ne l'avait décidé ainsi."

      Les solidarites mysterieuses
    • 2010

      Tous les matins du monde

      • 175pages
      • 7 heures de lecture
      3,5(1705)Évaluer

      «Il poussa la porte qui donnait sur la balustrade et le jardin de derrière et il vit soudain l'ombre de sa femme morte qui se tenait à ses côtés. Ils marchèrent sur la pelouse. Il se prit de nouveau à pleurer doucement. Ils allèrent jusqu'à la barque. L'ombre de Madame de Sainte Colombe monta dans la barque blanche tandis qu'il en retenait le bord et la maintenait près de la rive. Elle avait retroussé sa robe pour poser le pied sur le plancher humide de la barque. Il se redressa. Les larmes glissaient sur ses joues. Il murmura : - Je ne sais comme dire : Douze ans ont passé mais les draps de notre lit ne sont pas encore froids» Jean-Claude Drouot interprète Tous les matins du monde avec toute la force, la gravité et la violence qui sied à ce texte, une très belle réalisation sonore servie par les musiques de Sainte Colombe et de Marin Marais. L'écoute en classe de ces CD est autorisée par l'éditeur.

      Tous les matins du monde
    • 2002

      Il y a dans lire une attente qui ne cherche pas á aboutir. Lire c'est errer. La leture est l'errance.

      Les ombres errantes
    • 2001

      Au XVIIe siècle, un eau-fortier se retrouve avec le visage détruit à l'eau-forte. Cette "face de cuir bouilli" grave à jamais en lui l'amour qu'il portait à Nanni de Bruges et le geste vengeur de son fiancé jaloux. Privé d'image et d'expression, Meaume le graveur se livre à son intériorité. Au fil d'une succession de scènes sans liaison, comme autant de cris et d'halètements qui accompagnent la traversée de l'enfer et l'accès à la lumière, Meaume dit ses extases, son art, ses désirs, mais aussi la créativité, l'amour, l'apparence et la vérité. En homme "que les images attaquent", il énonce ses visions, sa fascination pour l'opposition et la complémentarité du clair-obscur. Le champ de la créativité a toujours captivé Pascal Quignard, comme l'illustrent ses précédents romans (citons les deux "goncourables", Le Salon du Wurtemberg et Les Escaliers de Chambord). Il est un écrivain du silence, du "balbutiement", du "secret", porté par une langue aux racines profondément déployées. -Laure Anciel

      Terrasse à Rome