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Gabriel Chevallier

    3 mai 1895 – 6 avril 1969
    Gabriel Chevallier
    Clochmerle
    Heldenangst
    Fear: A Novel of World War I
    La Peur
    Mascarade
    Sainte-colline
    • 2012

      1948. Dix-huit ans après La Peur, quatorze après Clochemerle, Gabriel Chevallier publie un recueil de cinq longues nouvelles, Mascarade. Cinq portraits-charge hauts en couleur, drôles et cruels : le colonel Crapouillot, un dur des durs de 14-18, qui " veut des morts " pour faire sérieux ; tante Zoé, vieille fille bigote et pétomane ; Mourier, un as de l'homicide domestique ; Dubois, un as lui aussi mais du marché noir et " le vieux ", qui gratte son jardin pour déterrer son or. Cinq récits qui commencent dans la banalité avant de basculer dans le sordide et la tragédie.

      Mascarade
    • 2010

      Gabriel Chevallier, que l’on reconnaît sous les traits de Jean Dartemont, raconte la guerre de 1914-1918 telle qu’il l’a vécue et subie, alors qu’il n’avait que vingt ans. Le quotidien des soldats – les attaques ennemies, les obus, les tranchées, la vermine – et la Peur, terrible, insidieuse, « la peur qui décompose mieux que la mort ». Parue en 1930, censurée neuf ans plus tard, cette oeuvre, considérée aujourd’hui comme un classique, brosse le portrait d’un héros meurtri, inoubliable.Voilà plus de trente ans qu’une exceptionnelle estime m’attache secrètement à ce livre. Roger Martin du Gard, 21 janvier 1956.La Peur de Gabriel Chevallier est un très beau, très vrai livre de guerre. Sa sincérité est totale, effrayante et parfois cynique. Pierre Scize, Le Canard enchaîné.Un témoignage peut-être encore plus terrifiant que Le Feu d’Henri Barbusse et Les Croix de bois de Roland Dorgelès. Bernard Pivot, Le Journal du dimanche.

      La Peur
    • 1937
    • 1934

      Tout a commencé quand Barthélemy Piéchut, maire de Clochemerle-en-Beaujolais, dévoila à Ernest Tafardel, l'instituteur, son projet :« Je veux faire construire un urinoir, Tafardel. Un urinoir ! s'écria l'instituteur, tout saisi, tant la chose aussitôt lui parut d'importance. Le maire se méprit sur le sens de l'exclamation : Enfin, dit-il, une pissotière ! »Cette vespasienne, destinée, bien plus peut-être, à confondre Mme la baronne Alphonsine de Courtebiche, le curé Ponosse, le notaire Girodot et les suppôts de la réaction, qu'à procurer un grand soulagement à la gent virile de Clochemerle, sera édifiée tout près de l'église où Justine Putet, aride demoiselle, exerce une surveillance étroite. Dès sa publication en 1934, Clochemerle, chronique rabelaisienne, a connu un énorme succès qui ne s'est jamais démenti. C'est maintenant un classique de la littérature comique.

      Clochemerle