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Sylvain Tesson

    26 avril 1972

    Sylvain Tesson, géographe de formation, est réputé pour ses expéditions en pleine nature et ses récits retraçant de grands périples. Voyageant souvent sans technologie moderne, il mise sur sa propre endurance pour nouer un lien profond avec le monde sauvage. Son écriture est imprégnée de réflexions sur la solitude, la beauté des paysages vierges et la quête de sens aux confins du monde. Par des récits captivants, il transporte le lecteur au cœur de ses aventures inoubliables.

    Sylvain Tesson
    La chevauchee des steppes
    L'éternel retour
    Berezina
    Une très légère oscillation
    L'axe du loup
    La marche dans le ciel
    • 2025
    • 2024
    • 2022

      Blanc

      • 240pages
      • 9 heures de lecture

      Avec mon ami le guide de haute montagne Daniel du Lac, je suis parti de Menton au bord de la Méditerranée pour traverser les Alpes à ski, jusqu'à Trieste, en passant par l'Italie, la Suisse, l'Autriche et la Slovénie. De 2018 à 2021, à la fin de l'hiver, nous nous élevions dans la neige. Le ciel était vierge, le monde sans contours, seul l'effort décomptait les jours. Je croyais m'aventurer dans la beauté, je me diluais dans une substance. Dans le Blanc tout s'annule -- espoirs et regrets. Pourquoi ai-je tant aimé errer dans la pureté ? S. T.

      Blanc
    • 2019

      Notre-Dame de Paris

      • 96pages
      • 4 heures de lecture
      3,6(45)Évaluer

      "À l'esprit, dans l'ordre : l'effroi, les analyses, les souvenirs. L'effroi, c'est l'impensable mêlé au sublime. Les images du brasier sont belles. Beauté horrifique, gravure en fusion de Gustave Doré. Tout homme a un rendez-vous quotidien avec le paysage qu'il habite. Je vis sur les quais de la Seine, entre l'église Saint-Julien-le-Pauvre où fut enterrée ma mère et l'église Saint-Séverin où fut baptisé Huysmans. Notre-Dame est là, tout près, reine mère de sa couvée d'églises. Je séjourne "sous le commandement des tours de Notre-Dame" (Péguy dans Les Sept contre Paris). Ce livre est publié avec le soutien de l'Imprimerie Floch à Mayenne. Tous les bénéfices seront reversés à la Fondation du Patrimoine."--Page 4 of cover.

      Notre-Dame de Paris
    • 2019

      Dans les forêts de Sibérie

      • 96pages
      • 4 heures de lecture
      3,6(179)Évaluer

      Pendant quelques mois entre la fin de l'hiver et le début de l'été, Sylvain Tesson s'installe dans une cabane isolée au bord du lac Baïkal. L'écrivain entreprend alors la plus riche des aventures : un voyage intérieur au bout du monde, dans les forêts de Sibérie.

      Dans les forêts de Sibérie
    • 2019

      La Panthére des neiges

      • 176pages
      • 7 heures de lecture
      3,7(2653)Évaluer

      "Tesson ! Je poursuis une bête depuis six ans, dit Munier. Elle se cache sur les plateaux du Tibet. J'y retourne cet hiver, je t'emmène. Qui est-ce ? ? La panthère des neiges. Une ombre magique ! Je pensais qu'elle avait disparu, dis-je. C'est ce qu'elle fait croire."--Page 4 of cover.

      La Panthére des neiges
    • 2018

      Une très légère oscillation

      • 216pages
      • 8 heures de lecture
      3,8(16)Évaluer

      L'écrivain voyageur livre ses pensées et invite le lecteur à profiter des choses les plus humbles de la vie, sans rien attendre du lendemain. Ses réflexions portent aussi bien sur des éléments d'actualité, comme Daech, les attentats, l'islam, le pape ou la politique française, que sur la poésie, l'intemporel ou la spiritualité.

      Une très légère oscillation
    • 2018

      Un été avec Homère

      • 256pages
      • 9 heures de lecture
      3,5(61)Évaluer

      L'Iliade est le récit de la guerre de Troie. L'Odyssée raconte le retour d'Ulysse en son royaume d'Ithaque. L'un décrit la guerre, l'autre la restauration de l'ordre. Tous deux dessinent les contours de la condition humaine. A Troie, c'est la ruée des masses enragées, manipulées par les dieux. Dans l'Odyssée on découvre Ulysse, circulant entre les îles, et découvrant soudain la possibilité d'échapper à la prédestination. Entre les deux poèmes se joue ainsi une très violente oscillation : malédiction de la guerre ici, possibilité d'une île là-bas, temps des héros de côté là, aventure intérieure de ce côté ci. Ces textes ont cristallisé des mythes qui se répandaient par le truchement des aèdes dans les populations des royaumes mycéniens et de la Grèce archaïque il y a 2500 ans. Ils nous semblent étranges, parfois monstrueux. Ils sont peuplés de créatures hideuses, de magiciennes belles comme la mort, d'armées en déroute, d'amis intransigeants, d'épouses sacrificielles et de guerriers furieux. Les tempêtes se lèvent, les murailles s'écroulent, les dieux font l'amour, les reines sanglotent, les soldats sèchent leurs larmes sur des tuniques en sang, les hommes s'étripent et une scène tendre interrompt le massacre pour nous rappeler que les caresses arrêtent la vengeance. Préparons nous : nous passerons des fleuves et des champs de bataille, nous serons jetés dans la mêlée, conviés à l'assemblée des dieux, nous essuierons des tempêtes et des averses de lumière, nous serons nimbés de brumes, pénétrerons dans des alcôves, visiterons des îles, prendrons pied sur des récifs. Parfois, des hommes mordront la poussière, à mort. D'autres seront sauvés. Toujours les dieux veilleront. Et toujours le soleil ruissellera et révèlera la beauté mêlée à la tragédie. Des hommes se démèneront pour mener leurs entreprises mais derrière chacun d'eux, un dieu veillera et jouera son jeu. L'Homme sera-t-il libre de ses choix ou devra-t-il obéir à son destin? Est-il un pauvre pion ou une créature souveraine? Les poèmes auront pour décor des îles, des caps et des royaumes dont un géographe, Victor Bérard, effectua dans les années 1920 une très précise localisation. La Mare Nostrum est ce haut lieu d'où a jailli l'une des sources de notre Europe, qui est la fille d'Athènes autant que de Jérusalem. Mais une question nous taraude. D'où viennent exactement ces chants, surgis des profondeurs, explosant dans l'éternité? Et pourquoi conservent-ils à nos oreilles cette incomparable familiarité? Comment expliquer qu'un récit de 2500 ans d'âge, résonne à nos oreilles avec un lustre neuf, un pétillement aussi frais que le ressac d'une calanque? Pourquoi ces vers paraissent-ils avoir été écrits pas plus tard qu'aujourd'hui, par un très vieux poète à la jeunesse immortelle, pour nous apprendre de quoi seront fait nos lendemains? En termes moins lyriques (Homère est le seul maître en la matière) d'où provient la fraîcheur de ce texte? Pourquoi ces dieux et ces héros semblent malgré la terreur qu'ils inspirent et le mystère qui les nimbe, des êtres si amicaux? (payot.ch)

      Un été avec Homère
    • 2016

      Sur les chemins noirs

      • 171pages
      • 6 heures de lecture
      3,4(316)Évaluer

      "Il m'aura fallu courir le monde et tomber d'un toit pour saisir que je disposais là, sous mes yeux, dans un pays si proche dont j'ignorais les replis, d'un réseau de chemins campagnards ouverts sur le mystère, baignés de pur silence, miraculeusement vides. La vie me laissait une chance, il était donc grand temps de traverser la France à pied sur mes chemins noirs. Là, personne ne vous indique ni comment vous tenir, ni quoi penser, ni même la direction à prendre." -- Cover

      Sur les chemins noirs
    • 2015

      S'abandonner à vivre

      • 238pages
      • 9 heures de lecture
      3,5(30)Évaluer

      "Devant les coups du sort il n'y a pas trente choix possibles. Soit on lutte, on se démène et l'on fait comme la guêpe dans un verre de vin. Soit on s'abandonne à vivre. C'est le choix des héros de ces nouvelles. Ils sont marins, amants, guerriers, artistes, pervers ou voyageurs , ils vivent à Paris, Zermatt ou Riga, en Afghanistan, en Yakoutie, au Sahara. Et ils auraient mieux fait de rester au lit." [Source : 4e de couv.]

      S'abandonner à vivre