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Johann Wolfgang von Goethe

    28 août 1749 – 22 mars 1832
    Johann Wolfgang von Goethe
    Faust et le second Faust
    Goethe et Werther
    Faust
    Le traité des couleurs
    La Fête de saint Roch à Bingen
    Ecrits sur l'art
    • Une anthologie de textes ayant trait à la littérature, la peinture, la sculpture, l'architecture, la musique et le théâtre. Ces écrits occupent une place décisive dans l'histoire de la culture allemande, à la charnière entre classicisme et romantisme. Ils traduisent la richesse de la réflexion d'un homme qui se veut universel

      Ecrits sur l'art
    • Un des textes fondamentaux de l'oeuvre scientifique de Goethe, génie de l'observation de la nature dont la conscience contemporaine découvre peu à peu l'importance.

      Le traité des couleurs
    • Faust

      • 162pages
      • 6 heures de lecture
      4,1(5411)Évaluer

      MÉPHISTOPHÉLÈS : - Je veux ici m'attacher à ton service, obéir sans fin ni cesse à ton moindre signe ; mais, quand nous nous reverrons là-dessous, tu devras me rendre la pareille. FAUST - Le dessous ne m'inquiète guère ; mets d'abord en pièces ce monde-ci, et l'autre peut arriver ensuite. Mes plaisirs jaillissent de cette terre, et ce soleil éclaire mes peines ; que je m'affranchisse une fois de ces dernières, arrive après ce que pourra. Je n'en veux point apprendre davantage. Peu m'importe que, dans l'avenir, on aime ou haïsse, et que ces sphères aient aussi un dessus et un dessous. MÉPHISTOPHÉLÈS - Dans un tel esprit tu peux te hasarder : engage-toi ; tu verras ces jours-ci tout ce que mon art peut procurer de plaisir ; je te donnerai ce qu'aucun homme n'a pu même encore entrevoir.

      Faust
    • Goethe et Werther

      • 519pages
      • 19 heures de lecture
      2,0(1)Évaluer

      La parution des Souffrances du jeune Werther en 1774 a bouleverse la conception de la litterature en Allemagne. Une des difficultes qu'a rencontree l'oeuvre a ete cependant la confusion entre mimesis et poiesis, realite vecue et fiction romanesque. Le recueil de documents et lettres que publia en 1854 August Kestner, fils de jean Chretien et de Charlotte, pour retablir la verite sur les rapports entre Goethe et ses parents permet de comprendre a posteriori les enjeux humains, affectifs et historiques d'une confusion tenace. La correspondance entre les trois amis et quelques-unes de leurs connaissances est reproduite ici. La traduction en francais de ces pieces, due a Louis Parade, est publiee pour la premiere fois. L'ensemble, qui va bien au-dela de l'anecdote, fait penetrer le lecteur dans la reception complexe d'une oeuvre capitale au regard de l'histoire de la culture europeenne moderne.

      Goethe et Werther
    • "Qui peut mettre la fin de sa vie en relation avec son commencement est le plus heureux des hommes." Ces maximes sont l'oeuvre d'une vie. Elles procèdent d'un même sens. C'est la tentative de réunir les contraires et d'établir une harmonie entre la pensée et l'action. Dans ce jeu entre le statique et le dynamique, dans ces perpétuels renvois et ces apparentes contradictions se situe la sagesse de ce livre : "Trouver son rapport à soi-même, aux autres et aux choses." À l'inverse des choses, l'homme n'a pas de place prédéterminée dans le monde qu'il n'appréhende jamais de façon immédiate. L'effort d'une vie est de l'affirmer : s'intégrer dans l'ordre toujours juste des choses en restant homme.

      Maximes et réflexions
    • Poésie et vérité

      • 509pages
      • 18 heures de lecture
      3,8(88)Évaluer

      Autobiographie écrite, pour les trois premières parties, de 1811 à 1814 et pour la dernière en 1830. Les amours et les oeuvres revisitées mais sur un ton plus classique que romantique et donc très loin de Rousseau.

      Poésie et vérité
    • " Le Serpent Vert " est un conte merveilleux à tous les points de vue, qui n'a pu être conçu que sous l'influence de ce somnambulisme spécial auquel Goethe attribuait lui-même la production de ses plus purs chefs-d'œuvre. Je n'ai pas la prétention de révéler tout ce que Goethe a voulu taire. Le fait est que la clef de tout un côté de la symbolique de Goethe nous est très probablement fournie par ce fantastique récit qui réserve le rôle principal à un certain Serpent Vert. " Osnald Wirth

      Le serpent vert
    • Ce Voyage en Italie de Goethe est important à plus d'un titre. On petit légitimement considérer qu'il a marqué une rupture dans sa vie. En prenant la route du Sud en 1786, Goethe a voulu échapper à un univers qu'il sentait trop pesant : " Je me suis enfin de Carlsbad à trois heures du matin : autrement on ne m'aurait pas laissé partir. " Il se dérobe incognito, à la hâte, affronte les périls et se métamorphose en Wanderer : le voyageur, le vagabond, l'errant. Commence alors son odyssée. qui durera jusqu'en 1788 et qu'il retrace dans ce récit où se mêlent l'art et la vie. Goethe traverse Vérone, Vicence. Venise, Padoue, Ferrare, Bologne, Florence, Pérouse, Rome, Naples, Palerme. Il admire l'art classique. contemple les paysages, se lie avec les populations : son expérience est intense. Ce Voyage en Italie, publié seulement en 1816 pour la première fois, depuis longtemps indisponible en France, compte parmi les plus célèbres relations de voyage allemandes et s'inscrit dans le projet autobiographique de l'auteur de Faust. La traduction de Jacques Porchat a été révisée et complétée par Jean Lacoste qui signe aussi une remarquable préface où est exposé l'art du voyage chez Goethe, pour qui le déplacement ne saurait aller sans une renaissance et la redécouverte de soi.

      Voyage en Italie