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Hernán Ronsino

    1 janvier 1975

    Hernán Ronsino est un écrivain, professeur et sociologue dont les œuvres explorent comment les fantasmes et les rêves se traduisent en art écrit. Ses nouvelles, présentées dans diverses publications et anthologies, ont obtenu une reconnaissance et des prix importants. L'écriture de Ronsino se caractérise par son exploration de l'interaction entre l'imagination et la réalité, offrant une perspective unique sur la condition humaine. Sa voix distinctive capture des émotions complexes et des processus de pensée complexes, rendant ses récits captivants et stimulants.

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    Dernier train pour Buenos Aires
    • Dernier train pour Buenos Aires

      • 93pages
      • 4 heures de lecture
      3,5(108)Évaluer

      D'abord il y a un salon de coiffure. C'est de là que Vicente, le taciturne, observe. Il observe les ouvriers qui démontent les rails. Des rails qui ne conduiront plus à ce bourg perdu, loin de Buenos Aires. Des rails qui laisseront une balafre dans la terre comme dans les têtes. Ensuite il y a le Don Pedrin, ce bistrot où l'on commente. On commente le film projeté dans l'unique cinéma, et le passé... Pourquoi la Negra a-t-elle pris un jour le train pour Buenos Aires et n'est jamais revenue ? Elle avait des jambes sublimes, la Negra Miranda, de quoi faire tourner la tête des jeunes hommes, de quoi rendre fou de jalousie un mari policier... A soi-même ou à d'autres, chacun dit ce qu'il sait, les souvenirs estompés, l'abandon, la vengeance. Et c'est seulement à la dernière ligne que tout prend sens.

      Dernier train pour Buenos Aires
    • Abelardo Kieffer hat seinen Freund Bicho Souza zum Asado eingeladen, einem Grillfest zu zweit. Ort der Handlung ist Chivilcoy, eine Stadt in der Provinz Buenos Aires. Anlass ist Abelardos Geburtstag – und seine Überzeugung, dass es an der Zeit sei, »die Trauer hinter sich zu lassen«. Ein grossartiger Roman über die vielen Schichten des Erinnerns.

      In Auflösung
    • Aus dem Spanischen übersetzt von Luis Ruby. »Jedes Stück Mauer in dieser Stadt trägt, wie eine Haut, die Spuren meiner Geschichte.« »Geboren bin ich – neunzig Jahre nachdem Urquizas Truppen auf den Ländereien von Gorostiaga gerastet hatten – am Morgen des 28. Januar 1942. Am Ufer der Laguna del Tigre. An diesem Tag – zur selben Stunde – notierte Pavese in sein Turiner Tagebuch – kann es sein, dass er um die Lagune wusste, um den Todeskampf meiner Mutter, die unter den Sternen verblutete, um mich zerbrechliches Wesen auf den Brettern des Milchwagens? – Sich an etwas zu erinnern bedeutet, es – jetzt erst – zum ersten Mal zu sehen. Die Erinnerung ist ein lichtes Gebären.« Geschildert werden drei Tage im März 2002: Der Erzähler Federico Souza kehrt nach etlichen Jahren der Abwesenheit in seine Heimatstadt zurück, weil ein alter Freund der Familie, Pajarito Lernú, unter ungeklärten Umständen gestorben ist – und ihm eine Kuh hinterlassen hat.

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