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Elfriede Jelinek

    20 octobre 1946
    Elfriede Jelinek
    L' entretien
    Gesammelte Gedichte
    Sur la voie royale
    La pianiste
    Ombre (Eurydice parle)
    Totenauberg, französische Ausgabe
    • Un dialogue philosophique entre un vieil homme, Heidegger, et une vieille femme, Hannah Arendt. Il défend une langue poétique, malgré son utilisation par les nazis, tandis qu'elle emporte en exil la langue de la raison critique pour la préserver.

      Totenauberg, französische Ausgabe
    • Dans Ombre (Eurydice parle) s'élève la voix de celle qui rejoint le royaume des morts, suite à la morsure de l'aspic. Elle est le rien, l'être n'est plus et le proclame loin des clameurs des foules. « Je ne suis plus rien. Je suis. » Émancipée, libérée car délestée de son apparence et de la dépendance, elle envisage sa vie d'ombre comme une échappatoire à l'aliénation terrestre. Écrivaine restée dans l'ombre de son mari rockeur, Eurydice dresse un portrait acerbe d'Orphée en pop star, ivre des feux de la rampe et des cris de ses groupies. En glissant chez les ombres, elle ne pourra plus « se mettre au fourneau ni travailler à son manuscrit tout juste commencé »... Fanatique de mode, cette Eurydice d'aujourd'hui est une acheteuse compulsive, pour n'être finalement plus que revêtement, enveloppe, dépouille, avec un profond sentiment de délivrance. Apparence qui dit le vrai et déjoue les hypocrisies, elle est l'envers du décor, le contre-pied du récit ancestral, celle qui écrit sa propre histoire contre l'injonction patriarcale du mythe, l'être qui a enfin pris possession de soi-même et de son corps, maintenant qu'ils ne sont plus. Entrelaçant à sa manière paroles mythologiques, discours politiques, théories psychanalytiques, paroles toute faites, langages publicitaires et autres embrigadements de la langue, dans un flux de mots et d'images crues et saisissantes, l'auteure autrichienne donne libre cours à cette voix féminine longtemps restée dans l'ombre

      Ombre (Eurydice parle)
    • La pianiste

      • 250pages
      • 9 heures de lecture
      3,6(4960)Évaluer

      Elle ne boit pas, ne fume pas, couche encore à 36 ans dans le lit maternel et aime bien rester chez elle. Chaque fois que ses horaires de professeur de piano au conservatoire de Vienne le lui permettent, elle se plaît à fréquenter les cinémas pornos, les peep-shows et les fourrés du Prater. Et quand un de ses étudiants tombe amoureux d'elle, Erika Kohut ne sait lui offrir en échange qu'un scénario éculé, propre à redorer la vieille relation du maître et de l'esclave. Cru, féroce et en même temps d'un comique irrésistible, ce livre n'épargne ni l'amour maternel et ses vaines ambitions, ni la vénérable institution qu'est à Vienne la grande musique, ni le sexe et ses névroses.

      La pianiste
    • A la manière des "Suppliants" ou d'"Ombre (Eurydice parle)", "Sur la voie royale" est un texte-fleuve, qui charrie différentes voix. Tel un pamphlet poétique, écrit par l'Autrichienne en réaction à l'élection de Donald Trump, cette expression de l'excès repousse les limites de l'écriture. Il incarne l'histoire millénaire de l'autoritarisme, de l'exclusion, de la haine brutale de toute pensée et toute forme de ré-action, dans un style poétique et incisif. La langue de Jelinek, qui fait entrer en collision les mythes, les discours politiques et les traités philosophiques, réinvite ici l'"Odipe-roi" de Sophocle, "La violence et le sacré" de René Girard, les "Cahiers noirs" d'Heidegger, des pages de Freud et diverses coupures de presse, ainsi que la biographie de David Cay Johnston, "The Making of Donald Trump".

      Sur la voie royale
    • Hans Bellmer - Louise Bourgeois

      • 154pages
      • 6 heures de lecture
      4,5(6)Évaluer

      Körper verformen sich und verschmelzen, während männliche und weibliche Geschlechtsformen miteinander interagieren. Die Werke von Louise Bourgeois und Hans Bellmer zeigen bemerkenswerte Parallelen, obwohl sich die beiden Künstler nie begegneten. Bourgeois, die bis 1938 in Paris lebte, entlarvt in ihren Arbeiten das konventionelle Verständnis von sexueller Identität und reflektiert den surrealistischen Blick auf die Frau. Sie adaptiert Methoden wie Fragmentierung und Metamorphose für ihre eigenen Strategien. Bellmer, der 1938 aus Berlin nach Paris kam, schuf mit seiner Puppe das Idealbild der Frau, in dem sich Wünsche, Phantasien und verdrängte Ängste spiegeln. Er zerlegt und setzt die Glieder neu zusammen, wodurch die Puppe sowohl weiblich als auch männlich sein kann. Diese Doppeldeutigkeit zieht sich durch seine Zeichnungen. Die Publikation bringt die Arbeiten von Bourgeois und Bellmer erstmals in einen Dialog, geprägt von den Perspektiven beider Künstler und ihren persönlichen Obsessionen. Zudem setzen eine Kunsthistorikerin und ein Kunsthistoriker die beiden Positionen kunstwissenschaftlich in Beziehung. Darüber hinaus treten Elfriede Jelinek mit einem unveröffentlichten Text und Henry Miller mit Auszügen aus "Sexus" literarisch gegeneinander an, was ein spannendes Lesevergnügen verspricht.

      Hans Bellmer - Louise Bourgeois
    • 'That's brutal violence on a defenceless person, and quite unnecessary, declares Sophie, and she pulls with an audible tearing sound at the hair of the man lying in an untidy heap on the ground. What's unnecessary is best of all, says Rainer, who wants to go on fighting. We agreed on that.' It is the late 1950s. A man is out walking in a park in Vienna. He will be beaten up by four teenagers, not for his money, he has an average amount ? nor for anything he might have done to them, but because the youths are arrogant and very pleased with themselves. Their arrogance is their way of reacting to the maggot?ridden corpse that is Austria where everyone has a closet to hide their Nazi histories, their sexual perversions and their hatred of the foreigner. Elfriede Jelinek, who writes like an angel of all that is tawdry, shows in Wonderful, Wonderful Times how actions of the present are determined by thoughts of the past

      Wonderful Wonderful Times
    • Charges (the supplicants)

      • 200pages
      • 7 heures de lecture
      3,6(18)Évaluer

      In recent years, the refugee problem has become impossible to ignore, as multiple crises in the Middle East and Africa have driven thousands of desperate people to attempt Mediterranean crossings in hopes of reaching Europe, and safety. Many have died en route, and those who make it face a far from certain future, as European governments have proved reluctant to fully acknowledge, let alone commit to ameliorating, their plight. In Charges (The Supplicants), Nobel Prize-winning writer Elfriede Jelinek offers a powerful analysis of the plight of refugees, from ancient times to the present. She responds to the immeasurable suffering among those fleeing death, destruction, and political suppression in their home countries and, drawing on sources as widely separated in time and intent as up-to-the-minute blog postings and Aeschylus's "The Supplicants," Jelinek asks what refugees want, how we as a society view them, and what political, moral, and personal obligations they impose on us. Looking at the global refugee crisis of our current moment, she analyzes challenges to the political, social, and psychological realities in safe, comfortable Western countries, exploring what everyday language and media coverage reveal about Western perceptions of refugees. In a world where insecurity seems to spread by the day, Charges (The Supplicants)is a timely, unflinching account of how we treat those who come to us in need.

      Charges (the supplicants)