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Brigitte Krulic

    Ecrivains, identité, mémoire
    Nietzsche, penseur de la hiérarchie
    Raison(s) d'etat(s) en Europe
    L’ ennemi en regard(s)
    Savoirs et métiers de l'etat au XIXe siècle
    Jour sans retour
    • 2014

      L’ouvrage aborde dans une optique comparatiste (France, Allemagne) les modalités de formation, de recrutement et d’évolution de carrière des serviteurs de l’Etat au XIXe siècle, dans un contexte marqué par la construction d’un Etat moderne soucieux d’une gestion efficace. A la différence de la Prusse, cas emblématique et précoce d’Etat autoritaire-bureaucratique, l’organisation d’une fonction publique régulière en France a en large partie résulté de nécessités pratiques et non d’une doctrine positive. Toutefois, les qualifications nécessaires pour que les administrateurs soient reconnus compétents et légitimes ont fait l’objet de vifs débats, traversés par des phénomènes de circulations d’idées et de modèles. Les pratiques nées des nécessités du service de l’Etat ont permis des assouplissements et adaptations qui tempèrent les contrastes offerts par les représentations idéal-typiques du bureaucrate allemand et de son homologue français, contrastes qui renvoient à des traditions différentes en matière de relations entre pouvoir politique et administration. Au-delà de la diversité des situations, c’est la question du lien entre le pouvoir administratif et la poursuite de l’intérêt général qui demeure tout à la fois sous-jacente et active.

      Savoirs et métiers de l'etat au XIXe siècle
    • 2012

      Le couple ami/ennemi fournit une grille de lecture dotée d’une redoutable force mobilisatrice pour appréhender la coexistence des diversités humaines ; il est associé à la notion d’identité, laquelle renvoie à celle de communauté ou de groupe. « Construction », « recomposition », ces termes clés circonscrivent la perspective adoptée dans cet ouvrage collectif, issu d’un colloque international tenu à Nanterre en novembre 2011. Il propose une approche interdisciplinaire, centrée sur la France, la Russie et l’Allemagne, de la généalogie et des fonctions des images de l’ennemi en Europe sur les trois derniers siècles, à partir de textes historiques et littéraires. Bien plus qu’aux réalités sociales, l’analyse des images, qui appartient à l’histoire des représentations, renvoie à l’imaginaire social et national dans lequel le recours au concept, nécessaire et construit, d’« ennemi » joue un rôle central.

      L’ ennemi en regard(s)
    • 2010

      Raison(s) d'etat(s) en Europe

      • 261pages
      • 10 heures de lecture

      « Raison mystérieuse inventée par les politiques pour autoriser tout ce qu’ils font sans raison » (Saint Evremond) ? Ou mise en œuvre de mesures de « salut public » dictées par une impérieuse nécessité ? La raison d’Etat est associée dans l’imaginaire politique européen à des politiques (le secret, le cynisme) et à des personnalités controversées (Machiavel, Richelieu, Bismarck). Cet ouvrage collectif, issu d’un colloque international pluridisciplinaire organisé en 2009 par le Centre de recherches pluridisciplinaires multilingues de l’Université Paris Ouest Nanterre la Défense, croise les approches de la philosophie, de l’histoire et des cultures juridiques ; il interroge les représentations et contextualisations, sur la longue durée historique, de la raison d’Etat, ou plutôt des raisons d’Etats, ainsi que ses recompositions contemporaines, en particulier les procédures de l’Etat de droit face à l’état d’urgence et aux « circonstances exceptionnelles ». Ce livre contient 12 articles en français, un en allemand ainsi qu’un en anglais.

      Raison(s) d'etat(s) en Europe
    • 2002

      Jour sans retour

      • 327pages
      • 12 heures de lecture

      "L'histoire de Karl Hoffmann est ici relatée telle qu'il me l'a racontée. Elle est forcément vraie, car j'ai rencontré cet homme. Il a trente ans, les épaules larges, le visage joyeux ; il n'aime guère parler de lui, il se contient lorsqu'il évoque les violences et la tragédie dans laquelle il a été pris. Si l'on vous dit qu'il vient de fuir l'Allemagne, où il a vécu des années de persécution, vous resterez pantois. On ne trouve pas chez lui ce qui réunit tous les réfugiés en Amérique : la peur, les yeux hantés, l'esprit ébranlé. Ce jeune pasteur n'a pas appris la peur. L'histoire de ce qu'il a vécu est une sorte de miracle moderne."

      Jour sans retour
    • 2001

      Ecrivains, identité, mémoire

      • 222pages
      • 8 heures de lecture

      "Outre-Rhin, le passé nazi constitue un champ de tensions entre l'histoire et la mémoire. L'acte de mémoire a partie liée avec l'acte d'écriture : la littérature redessine la trame du temps et recompose les identités malmenées. Les soubresauts de l'histoire ont engendré une littérature à plusieurs voix animée par le besoin de se libérer du passé en se réappropriant ses mémoires

      Ecrivains, identité, mémoire