Les travaux universitaires d'Eric Johnson explorent l'histoire de l'Allemagne nazie et de l'Holocauste, tout en abordant des thèmes plus larges tels que la criminalité, l'urbanisation et la justice. Ses recherches actuelles portent sur les prisonniers de guerre américains et alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que sur la chute du mur de Berlin et la réunification allemande. L'écriture de Johnson est profondément liée à son enseignement académique, examinant souvent des chapitres sombres de l'histoire à travers le prisme des sciences sociales et des méthodes de recherche historique.
L'auteur se base sur le dépouillement de dossiers de la Gestapo et des tribunaux afin d'évaluer la culpabilité individuelle de la population allemande, civile et militaire, sous le régime national-socialiste allemand. [SDM]
This book contributes to modern German history and to the sociological understanding of crime in urban societies. Its central argument is that cities do not cause crime. It focuses on crime during Germany's period of most rapid growth. From 1871-1914, German cities, despite massive growth, socialist agitation, non-ethnic immigration, and the censure of conservative elites, were not particularly crime-infested. Nevertheless, governmental authorities often overreacted against city populations, helping to set Germany on a dangerous authoritarian course.