Acheter 10 livres pour 10 € ici !
Bookbot

Danie le Huillet

    1 mai 1936 – 9 octobre 2006
    Klassenverhältnisse
    Nicht versöhnt oder es hilft nur Gewalt, wo Gewalt herrscht
    Writings
    Chronique d'Anna Magdalena Bach
    • Chronique d'Anna Magdalena Bach

      • 139pages
      • 5 heures de lecture
      5,0(1)Évaluer

      " Il n'y a jamais eu de texte. Anna Magdalena n'a jamais tenu de journal ou de chronique, elle n'a jamais écrit une ligne. Tout ce qu'on a de sa main, c'est une dédicace dans une Bible. Sinon, elle a recopié des partitions de musique. Les seuls textes d'elle, ce sont les lettres à son cousin, mais elles sont perdues. Il existe aussi des lettres dictées à un copiste après la mort de Bach pour demander de l'argent au conseil municipal de Leipzig. Il y a enfin La Petite chronique d'Anna Magdalena Bach, d'Esther Meynell, publié à Londres en 1933. Mais à l'époque celle-ci n'avait pas mentionné son nom. Il y a eu des protestations de musicologues et ensuite seulement, cette " chronique " a été rééditée avec son nom. Mais ici il n'y a pas une ligne de ce roman-là. On a dû bâtir du texte pour établir un récit : d'après le registre des comptes de la cour de Cöthen, d'après le Nécrologue de Carl Philipp Emanuel Bach et surtout, d'après des lettres de Bach où il dit " je ", elle dit " il " ou " Sebastian ". Cette chronique-là est une fiction de notre part. Je crois qu'on avait d'abord envie de raconter une histoire d'amour ".

      Chronique d'Anna Magdalena Bach
    • Writings

      • 624pages
      • 22 heures de lecture
      4,2(39)Évaluer

      The writings of Straub and Huillet, presented for the first time in a critical, English-language edition, shed light on the filmmaking couple's essential contributions and their unique place in film history.

      Writings
    • „Nicht versöhnt“ war vielleicht das umstrittenste Werk des „Jungen deutschen Films“: Drei Jahre nach dem „Oberhausener Manifest“ („Der alte Film ist tot. Wir glauben an den neuen.“) in einer Sondervorführung der Berliner Filmfestspiele 1965 uraufgeführt, entzweite er im Folgenden die Kritik, die von Äußerungen wie „Der schlechteste Film seit 1895“ bis zu „Der einzige revolutionäre Film im Nachkriegsdeutschland“ reichte. Heinrich Böll, dessen Roman „Billard um halbzehn“ die Handlung und die Dialoge des Films entnommen waren, reagierte unentschlossen, sein Verleger forderte gar die Vernichtung des Films. Doch nicht diese „chronique scandaleuse“ wird hier nachgezeichnet, sondern es soll vielmehr in Kommentaren und Kritiken dargestellt werden, mit welchen filmischen Mitteln man in diesem Film neue Wege beschreiten wollte. „1965 sah ich Jean-Marie Straubs NICHT VERSÖHNT, 1966 Alexander Kluges ABSCHIED VON GESTERN, die frühen, in gewisser Weise schon endgültigen, kaum mehr übertroffenen Formulierungen des jungen deutschen Films.“ (Wilhelm Roth im Katalog „Abschied vom Gestern“, Deutsches Filmmuseum, Frankfurt/M. 1991) Zum ersten Mal liegen nun das originale Drehbuch und der Drehplan vor, ergänzt um die Originalfassung des Films, die erstmalig auf DVD erscheint.

      Nicht versöhnt oder es hilft nur Gewalt, wo Gewalt herrscht