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Stefan Zweig

    28 novembre 1881 – 23 février 1942
    Stefan Zweig
    Marie-Antoinette
    Balzac
    Correspondance
    Joseph Fouché
    Le monde d'hier
    Les grandes vies
    • 2023

      Le bouquiniste Jacob Mendel est un vieil homme érudit au moment du déclenchement de la Première Guerre mondiale. Ne lisant pas les journaux, il ignore la guerre qui fait rage en Europe... ce détachement du monde est-il sans risque dans une époque où l'engagement semble de rigueur ?

      Le Bouquiniste Mendel
    • 2023

      Dans "Leporella" de Stefan Zweig, Crescence, une domestique insensible, développe un attachement profond pour son maître, prête à tout sacrifier, même au risque de sa vie. Ce texte déroutant est présenté pour la première fois en français, accompagné d'une biographie de l'auteur et d'une traduction d'Anaïs Ngo.

      Leporella
    • 2023

      « J'aimerais penser que je vous manque un peu... » : le 4 mars 1935, Stefan Zweig, qui met alors la dernière main à Marie Stuart , adresse une lettre à sa nouvelle secrétaire, Lotte Altmann. Recrutée grâce à l'organisme juif d'assistance aux réfugiés à Londres, où Zweig s'est exilé un an plus tôt, elle est vite devenue la collaboratrice indispensable au travail littéraire de l'écrivain. Ils se marieront en 1939 , et se donneront la mort ensemble dans de tragiques circonstances, à Petropolis en 1942. Ces Lettres à Lotte couvrent une période décisive dans la vie de Stefan Zweig. Il s'y montre un patron attentionné mais exigeant ; un écrivain acharné à publier en dépit de la persécution hitlérienne ; un homme tout à la fois résolu à rompre avec Friderike, sa première femme, et hésitant. Réunies par Oliver Matuschek, biographe de Zweig, illustrées de photos inconnues, elles composent le récit vivant d'une relation et de son contexte, une Europe à feu et à sang, éclairant d'une lumière inédite la personnalité et l'oeuvre d'un des plus grands écrivains du XX e siècle.

      "J'aimerais penser que je vous manque un peu"
    • 2020

      Dans une colonie néerlandaise des tropiques, un lieu moite, malsain, aussi bien par son climat que par ses moeurs, une femme voilée demande de l'aide a un ancien médecin, et le fait plonger peu a peu dans une folie meurtriere. Tel un de ces fous de Malaisie qui dévalent parfois subitement les rues armés de leur kriss et poignardent tous ceux qui se trouvent sur leur chemin dans une course insensée que l'on nomme amok, le héros de cette nouvelle se lance a la poursuite de cette mystérieuse femme. Ce chef-d'oeuvre de Stefan Zweig est ici publié dans une traduction inédite en poche. Comme dans sa parution originale de 1922, il est suivi de La Ruelle au clair de lune, nouvelle avec laquelle il présente nombre de points communs.

      Amok suivi de La ruelle au clair de lune
    • 2019

      Ce recueil offre les meilleures nouvelles de Zweig sur les deux grands thèmes de son oeuvre : les secrets et les passions. Les secrets ? Oui, ceux que se partagent les enfants quand ils espionnent les adultes et ceux que ne veulent pas partager les adultes, mais aussi ceux qu'on se tait à soi-même. Tels sont «Brûlant secret», «La Gouvernante», et «La Confusion des sentiments». Les passions ? Oui, celles qui rendent fou, qui consument, qui engendrent la violence, ou autour desquelles nous tournons le reste de notre vie. Tels sont «Amok», «Lettre d'une inconnue», «Destruction d'un coeur», et l'inoubliable «Vingt-quatre heures de la vie d'une femme».

      Secrets et passions
    • 2019

      "Worte haben keine Macht mehr"

      Essays zu Politik und Zeitgeschehen 1916–1941

      • 269pages
      • 10 heures de lecture
      3,2(5)Évaluer

      Stefan Zweig gilt der Rezeption als ein weithin unpolitischer, über den Dingen stehender Erfolgsautor, als ein Eskapist, der bis zum Ende im Denken des Fin de Siècle verharrte. Solche Urteile der Literaturkritik über den einstmals meistübersetzten Schriftsteller der Welt prägen bis heute den Diskurs über seine Texte. Dabei war der österreichische Schriftsteller nicht nur ein hellwacher Beobachter des europäischen und später internationalen Kulturbetriebes – er schrieb über Literatur, Musik und bildende Kunst – sondern interessierte sich seit Beginn des 1. Weltkriegs auch zunehmend für politische und soziale Veränderungen. Neben dem erzählerischen Werk existiert folglich ein wenig bekanntes essayistisches, das zahlreiche scharfsinnige Einschätzungen der gesellschaftspolitischen Entwicklung in Europa und anderswo seit Zweigs Politisierung durch den Ersten Weltkrieg offenbart. Viele dieser Texte sind der Forschung bisher unbekannt, andere werden erstmals seit ihrer Erstveröffentlichung in den 1920er- oder 1930er-Jahren wieder zugänglich gemacht. Enthalten sind Texte aus dem Zeitraum von 1916–1941, die ein neues Licht auf den »unpolitischen« Autor Zweig werfen. Der vorliegende Band erweitert den Kanon jener Texte, die es der Forschung ermöglichen, neue Erkenntnisse über Zweigs Verhältnis von Kunst und Politik zu gewinnen – und gleichzeitig auch das erzählerische Werk neu zu betrachten. Ursprünglich fremdsprachig publizierte Essays werden zweisprachig – jeweils auch in deutscher Übersetzung – zugänglich gemacht, ausführliche Stellenkommentare liefern Hintergrundinformationen und ein kommentierender Essay reflektiert sowohl die Entstehungsbedingungen der einzelnen Texte wie auch den bestehenden Forschungsstand. Damit macht die vorliegende Edition Zweigs politische Texte wieder für LeserInnen zugänglich und bildet einen kenntnisreichen Ausgangspunkt für eine nähere Beschäftigung mit seinen politischen Überlegungen.

      "Worte haben keine Macht mehr"
    • 2018

      A bord d'un paquebot en route pour l'Argentine, deux hommes s'affrontent aux échecs. Le premier, Mirko Czentovic, est le champion mondial de ce jeu. Le second, M. B., n'a pas touché a un échiquier depuis vingt ans, par ordre du médecin. Car la derniere fois qu'il a joué, un contexte particulierement douloureux l'a rendu schizophrene. Ces deux personnages singuliers et mystérieux attisent la curiosité du narrateur, passionné de psychologie. Des lors, il se met en tete de les faire parler, et nous livre deux troublants récits enchâssés. Une traduction inédite en poche de ce classique de la littérature sans cesse réédité depuis sa parution posthume en 1943.

      Joueur d'échecs
    • 2017

      Le mystère de la création artistique

      • 64pages
      • 3 heures de lecture
      3,5(27)Évaluer

      La conférence sur le mystère de la création artistique est le prolongement idéal de la nouvelle La collection invisible : ce sont deux textes fascinants, différents mais en correspondance entre eux. Ils sont écrits par Zweig sur le fil autobiographique et ils reflètent l'esprit de collectionneur de l'auteur, fasciné par les manuscrits, les partitions, les esquisses et les dessins préparatoires des peintures. Après le succès de La collection invisible parue chez Pagine d'Arte dans la collection ciel vague, nous sommes heureux de publier le texte de la conférence sur "le mystère de la création artistique" lue par l'auteur à New York en 1939. De même que La collection invisible, Le mystère de la création artistique est illustré par un choix d'images réunies dans un portfolio.

      Le mystère de la création artistique
    • 2017

      Ce wagon plombé qui fera « voler en éclat l'ordre du monde », c'est bien sûr le récit du fameux retour de Lénine en Russie, fin mars-début avril 2017, raconté ici par Zweig à la fois comme « un passionnant roman d'espionnage » et comme l'un des moments clés de l'histoire mondiale. Ce récit est suivi de « Voyage en Russie », où Zweig relate son voyage de 1928. Pour lui, la Russie est d'une importance cruciale ? moins politique et plus littéraire que, par exemple, chez Walter Benjamin, qui, exactement au même moment, séjourne à Moscou (voir son Journal de Moscou). Le livre comprend également « La plus belle tombe du monde » (sur Tolstoï, pages figurant notamment dans Le Monde d'hier), ainsi que « Sur Maxim Gorki » (1931), inédit en français.

      Le wagon plombé
    • 2016

      Qui est cet inconnu capable d'en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu'antipathique? Peut-on croire, comme il l'affirme, qu'il n'a pas joué depuis plus de vingt ans? Voilà un mystère que les passagers oisifs de ce paquebot de luxe aimeraient bien percer. Le narrateur y parviendra. Les circonstances dans lesquelles l'inconnu a acquis cette science sont terribles. Elles nous reportent aux expérimentations nazies sur les effets de l'isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, entre deux interrogatoires, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges. Une fable inquiétante, fantastique, qui, comme le dit le personnage avec une ironie douloureuse, "pourrait servir d'illustration à la charmante époque où nous vivons".

      Le Joueur d' échecs