Juif non pratiquant, Manès Sperber apprit à lire la Bible à l'âge de trois ans et ne cessa de la relire jusqu'à la fin de sa vie. Ni religieux, ni militant sioniste, ni apôtre d'un quelconque judaïsme culturel, il professait pour seule foi la "religion de la bonne mémoire". C'est son judaïsme vécu comme humanisme et comme éthique, son refus de toute idolâtrie, de toute exclusion de l'autre, son combat de toujours contre la haine, d'où qu'elle vienne, son attachement profond à la nation israélienne et son attitude prudente envers l'État d'Israël que Sperber illustre ici, dans ces essais brillants, préfacés par Élie Wiesel, où l'analyse de la pensée et de l'identité juives côtoie une question omniprésente : pourquoi l'antisémitisme ?
Mane s. Sperber Livres
12 décembre 1905 – 5 février 1984






Preuves
Une revue européenne à Paris
Individuum und Gemeinschaft
- 326pages
- 12 heures de lecture
Die politische Landschaft Europas in denJahren zwischen 193O und 1945. Im Mittelpunktsteht der Weg des Helden und Revolutionärs Dojno Faber bis an die Schwelle derNachkriegszeit
Churban oder die unfassbare Gewissheit
- 227pages
- 8 heures de lecture



