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Yann Moix

    Panthéon
    Naissance: Roman
    Partouz
    Podium
    Une simple lettre d'amour
    Naissance
    • Naissance

      • 1440pages
      • 51 heures de lecture
      3,0(1)Évaluer

      La naissance ne saurait etre biologique: on choisit toujours ses parents. Naitre, c'est semer ses geniteurs. Non pas tuer le pere, mais tuer en nous le fils. Laisser son sang derriere, s'affranchir de ses genes. Chercher, trouver d'autres parents: spirituels. Naitre biologiquement, c'est a la portee du premier chiot venu, des grenouilles, des huitres. Naitre spirituellement, naitre a soi-meme, c'est a la portee de ceux-la seuls qui preferent les orphelins aux fils de famille, les adoptes aux programmes, les deviances aux descendances. Toute naissance est devant soi. Cet accouchement n'est pas seulement le plus long de l'histoire litteraire, il est aussi le plus drole, le plus dejante. Joseph Mace-Scaron, Le Magazine litteraire. Il transforme la boue de ses tourments en oeuvre d'art jubilatoire. Naissance est un monument. Herve Bertho, Ouest France. PRIX RENAUDOT 2013

      Naissance
    • "Il y a près de vingt ans, je destinais cette lettre à une femme. Je n'ai pas osé la lui envoyer. On m'apprend aujourd'hui sa mort. Je vous confie ces pages, devenues épitaphe et tombeau. Les lira-t-elle enfin ?" Yann Moix.

      Une simple lettre d'amour
    • Longtemps, Jean-Baptiste Cousseau, dit « Couscous », s'est considéré comme un des meilleurs sosies de Claude François. Comme des dizaines d'autres en France, il animait les foires et kermesses en empruntant à son idole son répertoire et ses costumes... Jusqu'au jour où il a rencontré meilleur que lui, en la personne de Bernard Frédéric et de ses Bernadettes. Dès lors, sa vie se confond avec celle de ce Claude François d'exception, dont il devient l'admirateur, le confident, l'impresario. Une vie vouée au culte de l'idole, jusqu'à l'ultime sacrifice... Roman burlesque sur les sosies, fable sur les années Cloclo, balade nostalgique au musée Grévin des icônes de la culture populaire, Podium raconte drôlement une histoire désespérée : comment le désir d'être célèbre est devenu la religion des temps modernes.

      Podium
    • Partouz

      • 441pages
      • 16 heures de lecture
      1,4(6)Évaluer

      " Ce livre dangereux, je l'ai écrit comme une aubade et j'ai reçu en retour ce que je méritais : une bonne raclée. Depuis le temps que j'en rêvais ! Lettres d'insultes, critiques violentes, haines extraordinaires ont accueilli ce joli roman d'amour qui parle de Dieu, du 11 Septembre, de François Mitterrand, de Wagner et de Charles Péguy. Bref, je l'ai écrit comme doivent s'écrire tous les livres dangereux et haïs : dans le plaisir et l'insouciance, dans le bonheur et la vitesse. Et avec enfance. Bref, tout ce que l'adulte ne peut pas supporter. " Y. M.

      Partouz
    • Naissance: Roman

      • 1142pages
      • 40 heures de lecture
      2,8(38)Évaluer

      Un garçon naît dans une famille qui ne l'aime pas, avec une prépuce endommagée. Ses parents, porteurs de préjugés antisémites, le tiennent responsable des malheurs familiaux. Malgré cette rejet, il devient écrivain, influencé par les auteurs des années 70. Une ode à la littérature, lauréat du Prix Renaudot 2013.

      Naissance: Roman
    • Panthéon

      • 320pages
      • 12 heures de lecture

      "Panthéon est un roman sur l'enfance. L'enfance est souvent une horreur - mais quand on finit par la rejoindre, tard dans la vie, elle est peut-être enfin cela, qu'on appelle le paradis" Yann Moix

      Panthéon
    • « Les notes qui suivent furent prises au jour le jour , puisque c’est dorénavant ainsi que nous sommes sommés de vivre. Je ne suis pas sociologue, ni spécialiste de l’islam. Je n’ai d’autres spécialités que de vouloir rester en vie. […] Comme vous je traverse (cela ne fait que commencer) une réalité gangrenée par la mort et contaminée par la peur. Pour une fois, cette réalité n’est pas abstraite, posée sur la géographie de territoires lointains qu’on imagine par essence plongés dans le chaos. Non, elle est là, en bas de la rue, prête à faire de ce matin mon dernier matin. »Voici les temps des assassins. Il fallait ce livre lumineux, implacable, pour définitivement le comprendre. Albert Sebag, Le Point.Une vision subtile et humaniste, un régal d’intelligence, de sensibilité, de clairvoyance. Lucas Bretonnier, Le Parisien magazine .Il faut lire Yann Moix parce qu’il nous éveille. Joseph Macé-Scaron , Marianne.

      Terreur