Pour la seconde fois, Raymonde et Robert Bidochon visitent un musée des Beaux-Arts. Le couple va découvrir des oeuvres de Manet. Gauguin, Rubens, Doré, et seize autres toiles de maîtres. Leurs réactions sont toujours aussi croustillantes. Livre conçu en collaboration avec les musées des Beaux-Arts de Caen et de Lyon.
Lui, c'est Robert. On le reconnaît facilement : béret, bretelles, bedaine. Elle, c'est Raymonde, sa femme. À eux deux, ils forment un couple déprimant : les Bidochon. Déprimant, mais furieusement drôle. Depuis que Binet, l'un des auteurs du magazine d'humour Fluide glacial, raconte leur quotidien conjugal dans ses bandes dessinées, ils ont goûté à toutes les expériences du français moyen contemporain. Soit, entre autres, les habitations à loyer modéré, l'accession à la propriété, les voyages organisés ou la sacro-sainte télé. Cette fois, les voilà qui se mettent au téléphone portable. Et, comme d'habitude, c'est hilarant sur toute la ligne. Il faut avoir vu Robert expliquer à Raymonde, vaguement réticente à la modernité, que la seule chose qui compte, avec un portable, ce n'est pas de téléphoner : c'est d'user le forfait... Caricaturaux, les Bidochon ? Bien sûr, bien sûr. Mais tout de même, en réfléchissant bien, le lecteur finit par se demander s'il n'a pas, certains jours, quelque chose en lui des Bidochon... --Gilbert Jacques
Lui, c'est Robert. On le reconnaît facilement : béret, bretelles, bedaine. Elle, c'est Raymonde, sa femme. À eux deux, ils forment un couple déprimant : les Bidochon. Déprimant, mais furieusement drôle. Depuis que Binet, l'un des auteurs du magazine d'humour Fluide glacial, raconte leur quotidien conjugal dans ses bandes dessinées, ils ont goûté à toutes les expériences du français moyen contemporain. Soit, entre autres, les habitations à loyer modéré, l'accession à la propriété, les voyages organisés ou la sacro-sainte télé. Cette fois, les voilà qui se mettent au téléphone portable. Et, comme d'habitude, c'est hilarant sur toute la ligne. Il faut avoir vu Robert expliquer à Raymonde, vaguement réticente à la modernité, que la seule chose qui compte, avec un portable, ce n'est pas de téléphoner : c'est d'user le forfait... Caricaturaux, les Bidochon ? Bien sûr, bien sûr. Mais tout de même, en réfléchissant bien, le lecteur finit par se demander s'il n'a pas, certains jours, quelque chose en lui des Bidochon... --Gilbert Jacques
Lui, c'est Robert. On le reconnaît facilement : béret, bretelles, bedaine. Elle, c'est Raymonde, sa femme. À eux deux, ils forment un couple déprimant : les Bidochon. Déprimant, mais furieusement drôle. Depuis que Binet, l'un des auteurs du magazine d'humour Fluide glacial, raconte leur quotidien conjugal dans ses bandes dessinées, ils ont goûté à toutes les expériences du français moyen contemporain. Soit, entre autres, les habitations à loyer modéré, l'accession à la propriété, les voyages organisés ou la sacro-sainte télé. Cette fois, les voilà qui se mettent au téléphone portable. Et, comme d'habitude, c'est hilarant sur toute la ligne. Il faut avoir vu Robert expliquer à Raymonde, vaguement réticente à la modernité, que la seule chose qui compte, avec un portable, ce n'est pas de téléphoner : c'est d'user le forfait... Caricaturaux, les Bidochon ? Bien sûr, bien sûr. Mais tout de même, en réfléchissant bien, le lecteur finit par se demander s'il n'a pas, certains jours, quelque chose en lui des Bidochon... --Gilbert Jacques
Lui, c'est Robert. On le reconnaît facilement : béret, bretelles, bedaine. Elle, c'est Raymonde, sa femme. À eux deux, ils forment un couple déprimant : les Bidochon. Déprimant, mais furieusement drôle. Depuis que Binet, l'un des auteurs du magazine d'humour Fluide glacial, raconte leur quotidien conjugal dans ses bandes dessinées, ils ont goûté à toutes les expériences du français moyen contemporain. Soit, entre autres, les habitations à loyer modéré, l'accession à la propriété, les voyages organisés ou la sacro-sainte télé. Cette fois, les voilà qui se mettent au téléphone portable. Et, comme d'habitude, c'est hilarant sur toute la ligne. Il faut avoir vu Robert expliquer à Raymonde, vaguement réticente à la modernité, que la seule chose qui compte, avec un portable, ce n'est pas de téléphoner : c'est d'user le forfait... Caricaturaux, les Bidochon ? Bien sûr, bien sûr. Mais tout de même, en réfléchissant bien, le lecteur finit par se demander s'il n'a pas, certains jours, quelque chose en lui des Bidochon... --Gilbert Jacques