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J. M. G. Le Clézio

    13 avril 1940

    J.M.G. Le Clézio est un romancier franco-mauricien célébré dont la production prolifique s'étend sur plus de quarante œuvres. Son écriture se distingue par une exploration profonde de la psyché humaine et du monde environnant, soulignant souvent le lien entre l'humanité et la nature. Le Clézio manie la langue avec maestria, créant des images poétiques et captivantes qui entraînent le lecteur dans ses récits. Son œuvre reflète un engagement de longue date envers diverses cultures et une quête de compréhension des complexités de l'existence contemporaine.

    J. M. G. Le Clézio
    La Grande vie. Peuple du ciel
    L'inconnu sur la terre
    Chanson bretonne
    Voyage au pays des arbres
    La quarantaine
    rififi en banlieue
    • «Que reste-t-il des émotions, des rêves, des désirs quand tout disparaît ? L'homme d'Aden, l'empoisonneur de Harrar sont-ils les mêmes que l'adolescent furieux qui poussa une nuit la porte du café de la rue Madame, son regard sombre passant sur un enfant de neuf ans qui était mon grand-père ? Je marche dans toutes ces rues, j'entends le bruit de mes talons qui résonne dans la nuit, rue Victor-Cousin, rue Serpente, place Maubert, dans les rues de la Contrescarpe. Celui que je cherche n'a plus de nom. Il est moins qu'une ombre, moins qu'une trace, moins qu'un fantôme. Il est en moi comme une vibration, comme un désir, un élan de l'imagination, un rebond du cœur, pour mieux m'envoler. D'ailleurs je prends demain l'avion pour l'autre bout du monde. L'autre extrémité du temps.»

      La quarantaine
    • Voyage au pays des arbres

      • 48pages
      • 2 heures de lecture
      4,0(3)Évaluer

      Un petit garçon qui s'ennuie et qui rêve de voyager s'enfonce dans la forêt, à la rencontre des arbres. Il prend le temps de les apprivoiser, surtout le vieux chêne au regard si profond. Il peut même les entendre parler. Et quand les jeunes arbres l'invitent à leur fête, le petit garçon sait qu'il ne sera plus jamais seul...

      Voyage au pays des arbres
    • Chanson bretonne

      • 160pages
      • 6 heures de lecture
      4,1(15)Évaluer

      Ein Lied der Erinnerung an eine Kindheit zwischen Meer und Krieg. Der französische Nobelpreisträger Jean-Marie Gustave Le Clézio erinnert sich in »Bretonisches Lied« an seine Kinder- und Jugendzeit. An die Urlaube mit der Familie in der Bretagne und in »Das Kind und der Krieg« an seine frühe Kindheit im besetzten Süden Frankreichs. Zwei eindrückliche autobiografische Erzählungen aus einem anderen Jahrhundert, die in Frankreich die Bestsellerlisten gestürmt haben. Nostalgisch, aber nie sentimental, so erinnert sich J.M.G. Le Clézio an die Bretagne seiner Kindheit und Jugend. Von 1948 bis 1954 hat er hier mit seiner Familie die Sommerferien verbracht. In einem von berückender Schönheit, aber auch von großer Armut geprägten Landstrich. In poetischen Bildern beschreibt Le Clézio diesen Kindheitsort, die Feste, die Natur, die Sprache, aber auch die Veränderungen, denen die Bretagne immer wieder unterworfen und deren Zeuge er zum Teil war. »Es ist das Land, das mir die meisten Emotionen und Erinnerungen gebracht hat«, sagt der Nobelpreisträger über die Bretagne, die es so, wie er sie erlebt hat, nicht mehr gibt. Doch Le Clézio begibt sich noch weiter auf seiner Reise in die eigene Vergangenheit. In »Das Kind und der Krieg« erzählt er von der Zeit zwischen 1940 und 1945, die er als kleines Kind erst in Nizza und später, als die Deutschen auch den Süden Frankreichs besetzt hatten, in einem Versteck im Hinterland erlebte. Hier vermischen sich die Eindrü Erlebtes, Geträumtes, Erzähltes. Alles wird miteinander verwoben zu einem berührenden, eindringlichen Porträt einer Kriegskindheit, deren Essenz leider auch heute noch gültig ist.

      Chanson bretonne
    • L'inconnu sur la terre

      • 406pages
      • 15 heures de lecture
      4,1(16)Évaluer

      "Des qu'on regarde ce qui se passe au-dehors, comme font les enfants, on est bien etonne". Voila sans doute une des phrases clefs de cet essai lyrique qui est un hymne a la beaute du monde, une transparente incitation a mediter, un grand poeme en prose lente et precise, avec des retours, des repetitions, des surcharges. J.-M. Le Clezio tente de voir par les yeux d'un "petit garcon inconnu" qui "regarde a travers l'espace". Pour lui, comme pour l'enfant, "le monde est plein de mysteres et de secrets", mais ce ne sont pas ceux de l'intelligence. Ce sont les mysteres reels qu'on voit et qu'on sent, qu'on touche avec ses mains ..., les secrets d'un caillou, d'un haricot, d'un escargot, d'une libellule. Pas d'appareil critique. [SDM].

      L'inconnu sur la terre
    • La Grande vie. Peuple du ciel

      • 90pages
      • 4 heures de lecture
      3,7(3)Évaluer

      Pouce et Poussy se ressemblent tant que tout le monde les croit jumelles. Même visage espiègle. Même rire enfantin. Un jour, elles quittent l'usine et décident de partir. Avec leurs maigres économies, elles s'achètent un billet pour le Sud, pour mener enfin la grande vie. Celle dont elles ont toujours rêvé...

      La Grande vie. Peuple du ciel
    • Le Déluge

      • 285pages
      • 10 heures de lecture
      3,5(4)Évaluer

      Le 25 janvier à 15 h 30, François Besson, le narrateur, est frappé par une vision qui prend valeur de symbole : au moment où s'élance vers le ciel le hurlement de la sirène, une jeune fille apparaît sur un vélomoteur. Elle disparaît entre les maisons en même temps que cesse le bruit. Cet instant provoque chez le narrateur un basculement intérieur. "Depuis ce jour, tout a pourri. Je, François Besson, vois la mort partout."Depuis ce jour François Besson vit les treize journées essentielles de sa vie.Le premier jour il écoute la confidence d'une amie, Anna, enregistrée sur bande magnétique. Il écoute ce qu'elle espérait, ce qui la passionnait, sa lassitude et ses raisons d'en finir.Le treizième jour, après avoir renoncé à l'argent, à l'amour, au travail et au bonheur, après avoir offert, en guise de sacrifice expiatoire, ses deux yeux à la brûlure du soleil, Besson fait passer l'envers de la bande. Anna raconte qu'elle a menti, que ses raisons de se suicider sont difficiles à dire mais qu'elle va mourir ; elle a absorbé le gardénal et il entendra ses dernières paroles. On assiste à la mort d'Anna. Elle dit : "C'est comme s'il y avait le déluge."Le livre se termine sur l'abandon de François Besson. Le 22 mars 1963, il cède : la barrière de sa volonté n'est plus. Il a voulu le déchaînement, et ce déchaînement s'accomplit.

      Le Déluge
    • C'est une myriade d'îles, objet de rêves et de conquêtes, qui sont aujourd'hui tombées dans l'oubli : l'Océanie. Sous la plume sensuelle de J.M.G Le Clézio, ce continent bordé d'eau prend la forme d'un mythe, d'un espace sans cesse altéré par l'imaginaire. C'est aussi une histoire, celle de peuples conquis et toujours épris de liberté. Et c'est aussi un horizon : celui de la mer, à perte de vue.

      Raga
    • Celui qui n'avait jamais vu la mer

      • 107pages
      • 4 heures de lecture
      3,7(10)Évaluer

      Daniel est fils de la mer. Il a appris à la connaître, à travers un livre, "Sindbad le marin", mais il ne l'a jamais vue. Un jour, il part à sa rencontre. Grosse émotion, émerveillement... Jon, lui, est fasciné par l'étrange beauté du mont Reydarbarmur. Il y rencontre un petit garçon. Brève rencontre qui doit rester secrète. Cet enfant est-il le dieu vivant de la montagne ?

      Celui qui n'avait jamais vu la mer