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Otto Dix

    2 décembre 1891 – 25 juillet 1969

    Otto Dix, peintre et graveur allemand, est célèbre pour ses représentations impitoyablement réalistes et sans fard de la société de Weimar et de la brutalité de la guerre. Aux côtés de George Grosz, il est considéré comme l'un des artistes les plus importants du mouvement de la Nouvelle Objectivité. Son œuvre confronte sans détour les aspects les plus sombres de l'existence humaine et des conditions sociales. Le style de Dix se caractérise par son honnêteté brute et sa capacité à sonder les profondeurs de la psyché humaine.

    Otto Dix, 1891-1969 : his life and works
    Otto Dix et les maîtres anciens
    Lettres et dessins
    Otto Dix - le retable d'Issenheim
    Otto Dix
    Otto Dix - la guerre
    • Otto Dix - la guerre

      • 144pages
      • 6 heures de lecture
      4,7(6)Évaluer

      En 1914, Otto Dix , élève de l'école des Beaux-Arts de Düsseldorf, s'engage dans les troupes allemandes du front occidental, en Picardie. Traumatisé par cette expérience combattante, l'artiste produit en 1924 une série de cinquante eaux-fortes, Der Krieg (La Guerre), tirée à soixante-dix exemplaires. Servies par une technique en clair-obscur exceptionnelle, ces scènes hallucinées de batailles, de tranchées, de corps disloqués, abandonnés sur une terre éventrée, composent une chronique visuelle dont la radicalité suffoque et éblouit. Inspiré par Les Désastres de la guerre de Goya, le manifeste pacifiste d'Otto Dix suscite la polémique. A l'héroïsation du combat prônée par les nationalistes, il oppose l'atroce réalité, la mort dévorante et l'absurdité tragique. Le peintre, stigmatisé dans l'exposition "L'Art dégénéré", organisée par les nazis en 1937, voit une partie de son oeuvre détruite. La force plastique et subversive de ses gravures reste intacte.

      Otto Dix - la guerre
    • Otto Dix - le retable d'Issenheim

      • 264pages
      • 10 heures de lecture

      Catalogue officiel de l'exposition au Musée Unterlinden de Colmar du 8 octobre 2016 au 30 janvier 2017. Otto Dix (1891-1969) est l'un des artistes allemands les plus importants du XXe siècle, et pourtant il reste encore très peu représenté dans les collections publiques françaises. Une rétrospective de son oeuvre a eu lieu en 1972 au musée d'Art moderne de la Ville de Paris, mais il a fallu attendre la fin des années 1980 et les années 1990 pour que de nouvelles expositions monographiques lui soient consacrées en France. Dès 1996, une exposition organisée à Colmar évoquait l'influence des maîtres anciens dans son oeuvre, parmi lesquels Hans Baldung Grien, Matthias Grünewald, Lucas Cranach, Albrecht Dürer et Hans Holbein. Cette fois, le musée Unterlinden souhaite analyser la place qu'occupe dans l'oeuvre d'Otto Dix le chef-d'oeuvre de Grünewald, le retable d'Issenheim (1512-1516). Ce sont en l'occurrence l'influence sur la carrière de Dix des différents panneaux du célèbre retable et l'épisode de l'incarcération de l'artiste à Colmar (1945-1946) qui incitent le musée à mettre en regard ces deux maîtres incontournables de l'histoire de l'art allemand.

      Otto Dix - le retable d'Issenheim
    • Otto Dix (1891-1969), s'il fut classé parmi les artistes dégénérés par le régime nazi, s'est depuis lors imposé comme un peintre majeur, dont la stature posthume ne cesse de s'étoffer. Ce volume propose un itinéraire parmi plus de trois cents lettres inédites en allemand comme en français, accompagnées de nombreux dessins et croquis, écrites durant plus de cinq décennies. Des années vingt de la période d'effervescence créatrice aux années soixante de la reconnaissance tardive et incomplète, en passant par les années trente et quarante de l'exil intérieur et les années cinquante, où le grand peintre cherche sa place dans la société d'après-guerre de l'Allemagne divisée, ces documents apportent un éclairage nouveau et remarquablement précis sur les conditions de travail d'Otto Dix, sur sa conception de la peinture mais aussi sur le rôle que jouaient les liens affectifs et familiaux dans l'existence de l'artiste.

      Lettres et dessins
    • Otto Dix, 1891-1969 : his life and works

      • 160pages
      • 6 heures de lecture
      4,4(3)Évaluer

      It is my wish to come very close, strikingly close, to the times in which we live, without submitting to artistic dogma...I need the connection to the world of senses, the courage to portray ugliness, life as it comes.In the twentieths, Otto Dix was the artist of Neue Sachlichkeit, the New Objectivity, par excellence. Painting in a very realistic, almost photographic style, he chose as subjects the poverty, violence, death, and war that he experienced as a soldier in World War I. After this terrible experience, he painted the famous triptych The War. Dix staged the world as a play, a grotesque farce. But the form he chose to do so was based on the classical canon of beauty. Dix lived his life and served art, for he adhered to the age-old rule that the American painter Ad Reinhardt put in a nutshell: Life is life, and art is art.

      Otto Dix, 1891-1969 : his life and works
    • Letters, Vol. 1

      • 284pages
      • 10 heures de lecture

      The first English edition of Otto Dix's letters offers valuable insights into the life and thoughts of a pivotal figure in 20th-century art. This collection is particularly significant for art historians, Expressionism scholars, and fans of Dix, as it sheds light on his artistic journey and the context in which he created his influential works.

      Letters, Vol. 1
    • Otto Dix - The evil eye

      • 240pages
      • 9 heures de lecture

      Otto Dix, berühmter Maler und berüchtigter Bürgerschreck, verbrachte von Herbst 1922 bis November 1925 explosive Schaffensjahre in Düsseldorf. Als Mitglied der revolutionären Künstlergruppe Das Junge Rheinland entwickelte er seine kritische Handschrift, die ihn in der deutschen Kunst des 20. Jahrhunderts unverkennbar macht. Dieser künstlerisch wie menschlich prägenden Phase widmet sich dieses Buch. Als der mittellose Dix aus Dresden das erste Mal im Oktober 1921 nach Düsseldorf kam, erhoffte er sich im Rheinland Ausstellungsmöglichkeiten und lukrative Porträtaufträge. Mit großem Ehrgeiz und noch größerer Arbeitswut entwickelte er sich in den folgenden drei Jahren vom expressiv-veristischen Dadaisten zum neusachlichen Porträtisten: Mit kalter Lust fixierte er seine Mitmenschen auf der Leinwand. Als er 1925 nach Berlin ging, eilte ihm sein gesellschaftskritischer Ruf voraus. Otto Dix. Der böse Blick ist die erste Monografie über diese außerordentlich produktiven Jahre des Künstlers.

      Otto Dix - The evil eye
    • Dieses Buch zeigt den anderen Otto Dix (1891–1969): Im Zentrum steht nicht das sozialkritische Großstadtbild, sondern die Auseinandersetzung mit dem menschlichen Antlitz, die Dix in jeder Werkphase geführt hat – ob altmeisterlich, der Neuen Sachlichkeit nahestehend oder spätexpressionistisch. Betrachtet werden Selbstporträt, Kinderbildnis, Porträts von Honoratioren, Prominenten und Künstlern wie dem Schauspieler Heinrich George und der Tänzerin Anita Berber, das soziale Porträt mit schonungslosen Darstellungen verlorener Seelen, aber auch einzelne Aspekte an der Menschendarstellung wie die Suche nach Typus und Individualität. Der für Otto Dix so zentrale Schaffensbereich des Porträts wird mit Werken bedeutender Künstler von Lucas Cranach über Francis Bacon bis zu Andy Warhol und Wolfgang Tillmans oder Thomas Ruff in einen Zusammenhang gestellt – erstmals in einer umfassenden Analyse mit porträttheoretischem und -historischem Hintergrund. „Wissen Sie, wenn man jemanden porträtiert, soll man ihn möglichst nicht kennen. Nur nicht kennen! […] Der erste Eindruck ist der richtige. Wenn ich sein Bild fertig habe, kann ich meine Einstellung immer noch revidieren und sagen: Nun, er ist doch nicht ganz so ein Vieh, wie es schien." Otto Dix

      Getroffen. Otto Dix und die Kunst des Porträts