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Eugen Drewermann

    20 juin 1940
    Eugen Drewermann
    Psychanalyse et théologie morale 3
    Psychanalyse et exégèse 2
    L' essentiel est invisible
    Le testament d'un hérétique ou la dernière prière de Giordano Bruno
    Dame Holle
    Petit-frère et petite-soeur
    • Petit-frère et petite-soeur

      • 200pages
      • 7 heures de lecture
      3,5(4)Évaluer

      Petit-Frère et Petite-Soeur est un des contes les plus connus dont le sujet est l'enfance. Dans la lecture psychanalytique qu'il en fait, E. Drewermann voit l'évolution contradictoire et pleine d'embûches d'une jeune fille sur le chemin qui conduit à la vie et à l'amour. Evoquant le mariage forcé de Jacob avec Léa, raconté dans la Genèse, ou... la vie de Brigitte Bardot (du mythe BB à la défense des animaux), aussi bien que La Dame à la licorne, magnifique ensemble de six tapisseries du musée de Cluny (Paris), l'auteur met en relief le schéma mythologique qui structure Petit-Frère et Petite-Soeur. On y retrouve ainsi les motifs des "deux frères", ceux de " la belle et la bête ", du "roi et de la jeune fille", ou de "la fiancée substituée". Le conte, par sa structure même, ouvre des perspectives que la raison ou l'injonction morale ne peuvent prendre en considération. Et nous fait comprendre qu'une connaissance de soi élargie est possible, pour peu que l'on sache se mettre en chemin. Cette connaissance nous permet de dépasser l'angoisse et la peur qui alimentent la culpabilité pour nous ouvrir à la compréhension et à l'amour.

      Petit-frère et petite-soeur
    • Quelle est la différence entre le Bien et le Mal, et pourquoi les choses vont-elles si souvent mal pour le bon, alors que tout semble sourire au méchant ? Voilà la question que pose ce conte délicieux. Marie-couverte-d'or et Marie-la-poisse, héroïnes de cette histoire, sont en réalité des allégories de la nature : Marie-couverte-d'or est la fille du soleil, et le Bien en soi ; Marie-la-poisse est la fille de la lune, et elle est absolument méchante. Sœurs par adoption, elles sont filles de Dame Terre. Dame Holle incarne, elle, la Déesse de la Terre et des Cieux, la Grande Mère, avec des traits de bonté et de méchanceté mêlés. A un second niveau, on peut lire dans toutes ces figures des symboles du Bien et du Mal et de leurs rapports complexes y compris avec le Beau et le Laid. Avec sa subtilité habituelle et sa connaissance remarquable de l'univers mythique, Eugen Drewermann tire les fils croisés de cette courte histoire et manifeste toute la richesse psychologique, anthropologique, philosophique d'un conte populaire.

      Dame Holle
    • Choisissant la forme romanesque des mémoires apocryphes, l'auteur qui a tous les talents (y compris celui de vulgariser de cette manière) raconte, du 26 au 31 décembre 1599, les derniers jours de Giordano Bruno. Collant le plus possible à la réalité historique du 16e siècle. Ce texte n'en est pas moins très contemporain, vu les problèmes et questions éternelles qu'il véhicule. Ouvrage polémique où s'identifient Eugen Bruno et Giordano Drewermann

      Le testament d'un hérétique ou la dernière prière de Giordano Bruno
    • Des millions de personnes ont lu et relu ce conte qui nous emmène à la frontière du désert de l'expérience intime et du monde moderne avec son cortège de vaniteux, buveurs, hommes d'affaires, géographes et autres allumeurs de réverbères. Entre le visible et l'invisible, le renard - comme les animaux des contes et le dieu égyptien Anubis - conduit à un autre monde qu'" on ne voit bien qu'avec le cœur " . Mais ce don de soi ne demande-t-il pas à être partagé ? Quelle est cette rose pour laquelle il faut quitter cette terre et disparaître ? Les notes biographiques de Saint-Exupéry, sa vocation de pilote et son œuvre littéraire éclairent d'un jour nouveau ce chef-d'œuvre qui s'est arrêté, indécis, au bord de l'éternité.

      L' essentiel est invisible
    • Psychanalyse et exégèse 2

      • 688pages
      • 25 heures de lecture

      L'exégèse historique et critique, née il y a plus de deux siècles, a-t-elle " tué " le message de la Bible ? Oui, répond Eugen Drewermann, car elle a relégué ce message dans le passé. En expliquant avec toutes les ressources de la raison critique ce que les Ecritures voulaient dire aux époques où elles ont vu le jour, les exégètes ont contribué à vider les textes de leur sens pour nous, pour notre vie non seulement intellectuelle, mais aussi spirituelle, corporelle, affective... Drewermann propose une tout autre entrée dans les Ecritures : grâce à la psychanalyse de Freud et plus encore à la psychologie des profondeurs de Jung, il retrouve dans les textes bibliques les puissances universelles de l'âme humaine, les formes symboliques éternelles qui ont, en tout temps et en tout lieu, donné sens à la vie des hommes. Ces " archétypes " sont présents sous des expressions très diverses également dans la Bible. Le premier tome traitait des rêves, des mythes, des contes, des sagas et des légendes. Le second s'intéresse aux miracles, aux visions, aux prophéties, aux apocalypses, aux récits historiques et aux paraboles. Un travail original et passionnant, qui redonne à la Bible tout son sel pour la vie et toute sa force pour guérir ceux qui y entrent.

      Psychanalyse et exégèse 2
    • Aussi longtemps que les hommes ont peur, il ne leur est pas possible d'être bons. Seule la foi peut maîtriser cette angoisse existentielle en faisant appel à la confiance en Dieu qui donne et justifie la vie. Dans ce troisième volume, Eugen Drewermann, dans la même lignée que les précédents, part des situations limites de l'existence humaine - ici, le mensonge et le suicide - pour montrer la peur à l'oeuvre dans le dysfonctionnement des instances de la personnalité : les différents conflits entre le moi, d'une part, et le ça, le surmoi et la réalité d'autre part. Il n'y a donc pas une forme unique de suicide ou de mensonge, mais des cheminements multiples et souterrains qui conduisent à ces actes ultimes. L'étude du tragique (dans le premier volume) éclaire également ces situations où toute issue semble barrée. La question de la confiance - en soi, en d'autres personnes, en Dieu - se pose alors dans toute sa force.

      Psychanalyse et théologie morale 3
    • Psychanalyse et théologie morale 2

      • 184pages
      • 7 heures de lecture

      Le premier volume de Psychanalyse et morale intitulé La Peur et la Faute développait le tragique de l'existence en mettant en valeur le rôle de l'inconscient. La morale ne peut faire appel à la volonté pure et au devoir comme si le sujet humain était pleinement maître de lui-même et de ses choix. Théologie et psychanalyse ont donc à s'interroger mutuellement pour envisager l'être humain réel, divisé certes, mais convié aussi à surmonter sa peur par la confiance et la foi. Dans L'Amour et la Réconciliation, les questions restent les mêmes. Eugen Drewermann tente notamment d'expliquer les raisons de l'échec de nombreux couples, en particulier par l'incompatibilité entre les personnes et surtout le "transfert" inconscient qui a miné par avance le "choix" du partenaire. Tout divorce ne résulte donc pas toujours d'une "faute" morale. Le théologien de Paderborn appelle donc l'Eglise à dépasser le cadre d'un "moralisme" étroit qui enferme le destin individuel et l'institution dans les pièges du surmoi, et l'engage à redécouvrir les diverses voies de la réconciliation (avec soi et avec l'autre) et toute la profondeur de l'amour telle qu'elle s'exprime dans les premiers chapitres de la Genèse.

      Psychanalyse et théologie morale 2
    • La boule de cristal

      • 109pages
      • 4 heures de lecture

      C'est à la maturité que l'amour prend tout son sens qui fait que chacun découvre son harmonie intérieure particulière représentée par la "boule de cristal" du conte.

      La boule de cristal
    • Le mal

      • 474pages
      • 17 heures de lecture

      Dans le premier volume de sa trilogie sur le mal, le théologien allemand Eugen Drewermann s'est livré à une analyse exégétique très fouillée du récit des premiers chapitres de la Genèse, amenant le lecteur à de nouvelles questions. Dans ce second volume, il élargit son regard à l'aide de la psychanalyse pour mieux appréhender le dogme chrétien, la relation de l'homme à Dieu. «Si donc nous faisons appel au langage psychanalytique, écrit-il, c'est uniquement pour montrer que, formant un tout, l'homme se détruit nécessairement lui-même en vivant sans Dieu ou contre Dieu.» Pour délivrer l'homme de sa peur, pour le libérer d'une théologie culpabilisante, il lui faut retrouver un sens nouveau. Seule cette foi en Dieu peut permettre à l'homme de trouver la confiance pour «consentir à lui-même, sans amputer son existence. Et tout comme la soif et la mort de soif sont une preuve de l'existence de l'eau, il faut voir dans le désir et même dans la souffrance du désespoir, une preuve de Dieu...».

      Le mal