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Noël Dutrait

    Le maître a de plus en plus d'humour
    Beaux seins, belles fesses
    Le Livre d'un homme seul
    Une canne à pêche pour mon grand-père
    • 2005

      Beaux seins, belles fesses

      • 894pages
      • 32 heures de lecture

      Jintong, né après huit sœurs, est l'Enfant d'Or de sa mère. Autour de lui, la Chine rurale est confrontée à l'invasion japonaise, puis au maoïsme et enfin au néo-capitalisme sauvage. Fort heureusement Jintong, affligé d'un amour obsessionnel du sein maternel et des fesses des jolies filles, vit ces tragédies avec un certain recul... Une fresque délirante et sensuelle, truculente et poétique, longtemps interdite en Chine.

      Beaux seins, belles fesses
    • 2005

      Le maître a de plus en plus d'humour

      • 107pages
      • 4 heures de lecture

      L'usine a fait faillite, maître Ding est licencié. À seulement un mois de la retraite, c'est tout un monde qui s'effondre. Mais il retrouve soudain sa joie de vivre grâce à une idée géniale. Oui, mais cette idée... ne serait-elle pas un peu criminelle ? Dans ce court roman empreint de tendresse et d'humour, Mo Yan exerce une fois de plus son regard décapant sur la société chinoise contemporaine.

      Le maître a de plus en plus d'humour
    • 2001

      Le Livre d'un homme seul

      • 492pages
      • 18 heures de lecture
      3,7(839)Évaluer

      " Il n'a pas oublié qu'il a eu une autre vie. " Un dramaturge chinois en exil et une jeune juive allemande se découvrent au gré des cicatrices qui dessinent leurs corps. De la profondeur des silences et des tabous, dans la chaleur des corps amoureux, jaillit le récit d'une vie de terreur. Le héros raconte les purges et la barbarie du régime de Mao, mais aussi la fuite et l'espoir...

      Le Livre d'un homme seul
    • 1997

      Une canne à pêche pour mon grand-père

      • 112pages
      • 4 heures de lecture
      3,7(7)Évaluer

      Souvenirs d’enfance, les bonheurs simples de l’amour et de l’amitié, le pays natal et ses lieux familiers, mais aussi les drames de la rue ou les tragédies vécues par la Chine, tels sont les thèmes de prédilection de ces six nouvelles choisies par l’auteur – avec la complicité de son traducteur. « Dans ce recueil vous trouverez “Instantanés”, l’un des plus beaux textes de Gao Xingjian. » Alain Peyraube, Le Monde. « Gao Xingjian appartient à ce qu’on pourrait dire l’école du vrai. De fait, chaque mot qu’il écrit est lesté de son poids de sens vécu et trouve sa place dans une langue limpide et pure de toute fioriture – chaque mot sonne vrai. » Jean-Louis Kuffer, 24 heures.

      Une canne à pêche pour mon grand-père