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Pierre Furlan

    Revenants
    Un membre permanent de la famille
    Le pouvoir du chien
    • Le pouvoir du chien

      • 364pages
      • 13 heures de lecture
      4,2(383)Évaluer

      Au milieu des années vingt, dans les plaines sauvages du Montana, deux frères d'une quarantaine d'années tiennent seuls les rênes du vaste ranch familial. Si le cadet, George, peine à s'imposer auprès des ouvriers, l'aîné, Phil, esprit brillant et misogyne notoire, règne en tyran sur la propriété. Malgré leurs différences, les deux hommes vivent en parfaite entente. Mais, quand George épouse Rose, la veuve d'un médecin poussé au suicide par les humiliations répétées de Phil, l'harmonie est irrémédiablement rompue. En exposant Rose et son fils à la colère d'un frère assoiffé de vengeance, George pose involontairement les jalons d'un terrible drame...

      Le pouvoir du chien
    • Douze nouvelles placées sous le signe d’une sobriété stylistique digne de Raymond Carver au fil desquelles des couples divorcent, des femmes noires sont traquées par des pit-bulls sur des parkings, où la liste des courses à effectuer au supermarché finit par se confondre avec un programme de vie, où des mythomanes prennent leurs semblables en otage, où la mort frappe les hommes comme les animaux, où l’on écoute battre sous la poitrine d’un autre le cœur transplanté d’un amour décédé. Au sommet de son art et avec une superbe économie de moyens, Russell Banks propose ici un recueil de textes dont l’intensité transmue le réel et le quotidien en authentiques paraboles métaphysiques.

      Un membre permanent de la famille
    • Revenants

      • 122pages
      • 5 heures de lecture
      3,5(46)Évaluer

      Pour ce deuxième livre de sa Trilogie new-yorkaise, Paul Auster met en scène d'autres personnages que ceux de Cité de verre. Les protagonistes ici se nomment Blanc, Bleu et Noir. Mais deux d'entre eux sont à nouveau des détectives privés et leurs tribulations à New York mettent une fois encore en évidence la précarité de l'identité en même temps que les très pervers effets de miroir du destin. De telle sorte que l'impitoyable filature, à laquelle on demeure suspendu comme dans les meilleurs thrillers, nous ramène aux interrogations du premier livre. Avec, cette fois, une intensité croissante dans le tragique. On comprend après cela que l'ascension de Paul Auster, parmi les écrivains de sa génération, ait été aussi irrésistible que la métaphysique angoisse où il nous plonge.

      Revenants