Veintiséis relatos en los que Gianni Rodari plantea y describe de forma magistral situaciones cotidianas llenas de humor, imaginación e ironía, para ofrecernos su genial visión del mundo que nos ha tocado vivir.
A quinze ans, l'héroïne de ce livre comprend qu'elle a tout perdu : ses parents, son nom, son pays et jusqu'à son âge. De Selma, sa mère, la descendante des sultans, morte à Paris dans la misère, elle ne sait presque rien. Quant à son père, si sa famille adoptive lui dit qu'il était le radjah de Badalpour, d'autres murmurent qu'il s'agissait d'un Américain. Zahr se battra pour retrouver ses racines. Elle reverra son père, croira retrouver sa famille dans cette Inde musulmane qui d'emblée l'a conquise... jusqu'au moment où son univers s'écroule à nouveau et où il lui faut fuir. Après le best-seller De la part de la princesse morte, où revivait la figure de sa mère, c'est à son ascendance paternelle que Kenizé Mourad a consacré ce bouleversant roman, qui nous entraîne du quartier Latin des années soixante au mystérieux jardin du palais décrépit de Badalpour.
Au cours d'une bataille contre les Turcs, Médard de Terralba, chevalier génois, est coupé en deux par un boulet de canon. Ses deux moitiés continuent de vivre séparément, l'une faisant le bien, l'autre mutilant tout sur son passage. Ce conte est pétri d'humour et de cynisme. Le monde imaginaire de Calvino où des doigts coupés indiquent la route à suivre, où les lépreux vivent heureux a pourtant toutes les couleurs du réel. Et le Vicomte pourfendu prouve avec brio que la vertu comme la perversité absolues sont également inhumaines.
L'école, c'est pour les copains. Pour cette raison évidente, Nicolas aime beaucoup l'école, surtout pendant les récréations. Il y a Clotaire qui pleure, Alceste qui mange ses tartines de confitures et Agnan qui revise ses leçons, sans oublier le Bouillon, le surveillant