The Year of My Life. [An Autobiography in Haibun, a Mixed Form of Haiku and Prose]
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Kobayashi Issa était un poète japonais réputé pour ses haïkus et ses journaux. Il est considéré comme l'un des quatre maîtres du haïku au Japon, aux côtés de Bashō, Buson et Shiki. Ses œuvres, empreintes des paradoxes de la vie et d'observations subtiles de la nature, reflètent une profonde compassion pour l'humanité et les petites créatures. Avec un humour singulier et une vision bienveillante du monde, Issa apporte une perspective unique et personnelle à la forme traditionnelle du haïku.




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Haiku w lirycznym przekładzie i interpretacji Beaty Szymańskiej, znanej i cenionej krakowskiej poetki oraz profesor filozofii związanej z Uniwersytetem Jagiellońskim, to autorski wybór wierszy klasycznych japońskich twórców. Są to: Matsuo Basho (1644–1694), Yosa Buson (1716–1784), Kobayashi Issa (1763–1828) oraz nieco późniejszy poeta epoki Meiji, przez wielu zaliczany do wielkich mistrzów haiku: Masaoka Shiki (1867–1902).
Der japanische Haiku-Dichter Kobayashi Issa (1763–1827) kehrte im Juni 1801 nach langen Jahren in der Fremde in sein bäuerlich geprägtes Elternhaus zurück. Über vier Wochen begleitete er Krankheit und Sterben des geliebten Vaters – belastet durch Dissonanzen mit Stiefmutter und Halbbruder. Das buddhistisch grundierte, von warmem Mitgefühl getragene Werk ist realistischer Bericht und poetisches Tagebuch zugleich. Die in das Tagebuch eingelassenen Haiku werden durch weitere Haiku-Verse und Zeichnungen Issas ergänzt. Zahlreiche Anmerkungen, ein ausführliches Nachwort und eine Biographie erschließen das reiche poetische Material in der ganzen Breite der religiösen, literarischen und geographischen Anspielungen. Mit einem Vorwort zur 2. Auflage von Hanns-Josef Ortheil.
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Dvě útlé knihy krátkých japonských básní haiku básníka Kobajaši Issy s krásnými ilustracemi Daniely Renčové potěší duši i oči. Absolventka Ústavu grafiky a designu v Plzni za toto výtvarné pojetí haiku získala ocenění Vojtěcha Preissiga od Spolku českých bibliofilů v soutěži Nejkrásnější české knihy roku 2012.
Rozsáhlý výbor z díla jednoho z nejlepších japonských básníků Kobajašiho Issy (1763-1827), jehož tvorbu zná český milovník japonské poezie již z oblíbeného výboru Pár much a já (DharmaGaia 1996). Jeho haiku, zaměřená převážně na přírodní motivy (měsíc, květy, vítr, voda, zvířata, hmyz, ale i lidé a bozi), jsou díky jeho nesmírné citlivosti a otevřenosti vůči i těm nejdrobnějším tvorům považována za momentky absolutní komunikace. Překladatel Antonín Líman o něm napsal, že jeho něžný pohled má v sobě až vesmírnou toleranci a dětskou čistotu.
Sarinagara signifie cependant. Ce mot est le dernier d'un des plus célèbres poèmes de la littérature japonaise. Lorsqu'il l'écrit, Kobayashi Issa vient de perdre son unique enfant : oui, tout est néant, dit-il. Mais mystérieusement, Issa ajoute à son poème ce dernier mot dont il laisse la signification suspendue dans le vide.L'énigme du mot sarinagara est l'objet du roman qui unit trois histoires : celles de Kobayashi Issa (1763-1827), le dernier des grands maîtres dans l'art du haïku, de Natsume Sôseki (1867-1916), l'inventeur du roman japonais moderne, et de Yamahata Yosuke (1917-1966), qui fut le premier à photographier les victimes et les ruines de Nagasaki. Ces trois vies rêvées forment la matière dont un individu peut parfois espérer survivre à l'épreuve de la vérité la plus déchirante.Loin des représentations habituelles du Japon, plus loin encore des discours actuels sur le deuil et sur l'art, dans la plus exacte fidélité à une expérience qui exige cependant d'être exprimée chaque fois de façon différente et nouvelle, le texte de Philippe Forest raconte comment se réalise un rêve d'enfant. Entraînant avec lui le lecteur de Paris à Kyôto puis de Tôkyô à Kôbe, lui faisant traverser le temps de l'existence et celui de l'Histoire, ce roman reconduit le rêveur vers le lieu, singulièrement situé de l'autre côté de la terre, où se tient son souvenir le plus ancien : là où l'oubli abrite étrangement en lui la mémoire vivante du désir.
Můj Nový rok se řadí k nejlepším textům v tradici japonského prozaicko-poetického literárního deníku haibun, na jejímž počátku stojí i českému čtenáři známá Bašóova Úzká stezka do vnitrozemí. Bašóův následovník Issa reaguje ve svém osobně laděném textu především na smrt vlastní dcery; jeho básnické rekviem je přitom svědectvím o autorově vnitřním boji s žalem a snaze překonat bolest duše buddhistickým obrazem života jako přirozeného procesu proměn.