Mike Horn est un aventurier dont la vie est synonyme de défis extrêmes et d'exploration de l'inconnu. Son endurance et sa détermination le mènent dans les endroits les plus reculés de la planète, où il repousse les limites du potentiel humain. À travers ses expéditions, il partage des récits de résilience, de respect de la nature et de la force de l'esprit humain face à l'adversité. Son travail incite les lecteurs à réfléchir sur leurs propres limites et à découvrir le monde qui les entoure.
"En gardant les pieds sur terre, on peut toucher les étoiles." Telle est la devise de Mike Horn, qui relate dans cet ouvrage ses multiples expéditions. A la fois récit d'aventures qui dépassent l'entendement et témoignage de vie d'un battant, cet ouvrage richement illustré s'adresse à tous les passionnés d'aventures aussi bien qu'aux lecteurs en quête d'évasion. Du Pôle Nord à l'Equateur, l'explorateur y raconte ses principaux défis de survie avec fougue, tenant le lecteur en haleine en un suspense parfois insoutenable.
Mike Horn est un aventurier de l’extrême connu dans le monde entier pour repousser les limites du possible. il a descendu l’Amazone, suivi la ligne d’équateur sur 40 000 kilomètres, bouclé le tour du Pôle Nord durant la longue nuit polaire. Il a marché sur la glace, parcouru le désert, descendu des rapides, frayé son chemin dans la jungle. Jusqu’à ce pari fou : gravir, avec trois amis montagnards, quatre 8 000 mètres à la suite dans l’Himalaya. Sans oxygène, sans cordes, en « style alpin » le plus pur, à la seule force de la volonté… Pour la première fois aussi, ce conquérant de l’impossible se dévoile. Il nous parle de ses motivations profondes, de ses inspirations : son père qui, à l’âge de huit ans, lui a appris à « regarder au-delà du mur » ; Cathy, sa femme, sa Croix du Sud, récemment emportée par la maladie et dont l’esprit accompagne chacun de ses pas.
RO30124286. POLE NORD DE NUIT. 2007. In-8. Broch. Bon tat, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intrieur frais. 237 pages augmentes de nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 910.9-Explorations
Mike Horn est un aventurier professionnel. Il affronte les terres les plus reculées, les reliefs les plus extrêmes, les conditions les plus difficiles. De ses expéditions en Amazonie, en Arctique ou tout autour de l'équateur, il a tiré des leçons de survie, bien sûr, mais surtout de vie. Et ce sont ces leçons qu'il veut faire découvrir à ses filles. Parce qu'à ses yeux, un père doit transmettre à ses enfants un héritage unique. Etre père, c'est, être passeur. Et quelle meilleure école que ce Grand Nord où chaque geste compte, où la solidarité est la base de la survie, où la chaleur humaine combat toutes les tempêtes ? Annika et Jessica ont douze et onze ans. Sur la glace de l'île de Bylot, elles franchissent crevasses et ponts de neige, gravissent les sommets, montent le campement, établissent les itinéraires. Mike veille, bien sûr, c'est dangereux, mais leur laisse l'initiative. En accord avec sa femme Cathy, il veut qu'elles prennent leurs propres décisions. L'école du Grand Nord, c'est celle dont tout parent rêve pour son enfant. Une école où le sens de l'effort, du partage, de l'attention à l'autre se transmet par nécessité. Une école qui aide à devenir un meilleur adulte.
20 000 kilomètres sur le cercle polaire arctique : une aventure sportive et humaine extraordinaire. « J’ai failli mourir dans l’eau glacée, j’ai senti les crocs des ours polaires contre mon visage, j’ai survécu à des températures de moins soixante ; j’ai fait des détours de mille deux cents kilomètres dans la nuit totale de l’hiver arctique, j’ai eu les doigts, la figure et même les poumons gelés, j’ai lutté cinq jours et cinq nuits, dans mon bateau crevé par un tronc d’arbre, j’ai perdu tout mon équipement et j’ai commencé à brûler vif… l’Arctique est sans pitié. Tout ce que j’ai affronté était nouveau pour moi. Je n’ai trouvé le courage de surmonter certaines épreuves que parce que j’ignorais les souffrances qu’elles représenteraient. » Mike Horn est un aventurier de l’extrême. Il ne vit que pour relever de nouveaux défis, et repousser encore plus loin les limites de sa résistance. Cette aventure, il l’a vécue aussi comme un véritable voyage vers l’humain. Parce que sur ces terres où la vie ne tient qu’à un fil, la solidarité est exemplaire. Et, comme il le dit lui-même : « Je crois à la générosité profonde de la nature humaine. Elle est simplement étouffée par la vie sociale. Là où je vais, la mascarade cesse et le meilleur ressort. »
Dosavadní extrémy, jimiž se pyšní světoznámý dobrodruh, nejsou nic proti výzvě, před kterou stojí právě teď: výstup na čtyři osmitisícovky v Himalájích v řadě za sebou – bez kyslíku, horolezeckého náčiní, jen se třemi spolehlivými parťáky. Je to jen jeho silná vůle, která ho žene v nejkritičtějších okamžicích k cíli a záchraně vlastního života.
Die Idee ist ebenso verrückt wie einleuchtend: einfach dem Äquator zu folgen, einmal um die gesamte Erde, ohne motorisierte Hilfe. Mike Horn wanderte, segelte, schwamm, radelte und paddelte über 46 000 Kilometer und folgte in erster Linie der fixen Idee in seinem Kopf. Lebensbedrohlichen Gefahren trotzte er dabei ebenso, wie er die vielen kleinen Strapazen des Alltags meisterte, um seinen Traum zu verwirklichen. In der mitreißenden und farbigen Schilderung seiner spektakulären Reise lässt er uns teilhaben am letzten großen Abenteuer des 20. Jahrhunderts.
Mike Horn, einer der bekanntesten Extremabenteurer weltweit, nahm den zweijährigen Kampf ums Überleben auf: 27 Monate lang allein vom Nordkap über das Nordmeer durch Grönland, Kanada, Alaska, die Beringstraße und Rußland. Sein packender Bericht dokumentiert eines der letzten großen Abenteuer der Menschheit und Mike Horns bedingungsloses Bekenntnis zur Natur. 'Mike Horn ist zu spät geboren, um mit Christoph Kolumbus oder Roald Amundsen zu konkurrieren. Trotzdem sind seine Leistungen und sein Trieb mit diesen zwei Entdeckern vergleichbar.' Facts
Mike Horn se rozhodl dobýt severní pól a urazil pěšky, na lyžích i na lodi 20 000 kilometrů nelítostnou Arktidou. Málem zahynul v ledové vodě, cítil na tváři tesáky ledního medvěda, obklíčen sněhovou bouří přežil v šedesátistupňovém mrazu, najel tisíc dvě stě kilometrů mimo trasu v naprosté tmě polární noci.
