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Christine Orban

    3 octobre 1954

    Christine Orban est une auteure célébrée dont les œuvres explorent les complexités de la psychologie humaine et des relations complexes. Son style d'écriture est souvent décrit comme poétique mais pénétrant, possédant une capacité remarquable à capturer les nuances subtiles de l'émotion et de la dynamique sociale. Ses romans abordent fréquemment des thèmes tels que l'identité, la mémoire et la recherche de sens dans le monde contemporain. L'importance littéraire d'Orban réside dans sa perspective distinctive et sa prose évocatrice, qui captivent profondément les lecteurs.

    Le silence des hommes
    Le Livre de Poche: Fringues
    Charmer, s'égarer et mourir
    N'oublie pas d'être heureuse
    Fringues
    Le pays de l'absence
    • 2016

      Charmer, s'égarer et mourir

      • 304pages
      • 11 heures de lecture

      « C'est Marie-Antoinette que je voulais écouter. L'écouter comme si j'avais été sa confidente. Sa voix résonne dans sa correspondance, dans ses silences, dans les mots effacés et retrouvés. Je l'ai entendu. Les lignes tracées de sa main sont comme des notes sur une partition de musique. Je perçois l'incertitude de son timbre, sa sensualité, je perçois des sons graves et légers comme l'eau d'une rivière, une rivière de larmes. » Christine Orban

      Charmer, s'égarer et mourir
    • 2011

      Le pays de l'absence

      • 176pages
      • 7 heures de lecture
      2,7(3)Évaluer

      Elle attend avec une certaine inquiétude sa mère qui vient de Casablanca pour les fêtes de Noël. Depuis un certain temps, elle a d’étranges oublis et des manies bizarres comme prétendre que son petit singe en peluche est un animal vivant. Elle a certes toujours été capricieuse et coquette, flottante et frivole, aimant le bridge et les soirées où les hommes l’entouraient, ne connaissant rien des responsabilités, mais les symptômes qu’elle présente dès son arrivée à Paris ne permettent plus de fuir la vérité. Sa mère est atteinte de la maladie d’Alzheimer, et assez fine pour tenter d’en masquer certains traits trop voyants. Comment garder calme et patience, comment lui manifester tendresse et confiance quand son comportement est de plus en plus aberrant ? Elle ne sait plus où elle est, a perdu la notion du temps, répète en boucle les mêmes phrases puis se reprend et se rebelle. Comment vivre face à ce naufrage qui inverse les rôles ? La fille devient la mère, la mère redevient une petite fille. Mais en réalité, Christine a toujours protégé sa mère : elle n’a jamais eu d’enfance et ce qu’elle contemple n’est que le long acheminement d’une relation conflictuelle qui l’a piégée toute sa vie.Un livre pudique et émouvant sur les relations mère-fille à cet âge de la vie où tout s’inverse, où les émotions à vif replongent dans les souvenirs d’enfance, où les manquements, les défaillances maternels sont analysés en regard de ce qu’on est devenu. Récit intime autant que témoignage, il explore sans pathos, avec des mots justes et simples, l’impuissance devant un être aimé qui sombre dans l’absence.

      Le pays de l'absence
    • 2009
    • 2007
    • 2004

      Le Livre de Poche: Fringues

      • 256pages
      • 9 heures de lecture

      Des fringues : des apprêts, des atours, des atouts, un étourdissement d’étoffes et d’artifices où les hommes se prennent, s’ébahissent, s’enthousiasment… Pour Darling, la vie ne serait pas, n’est pas vécue sans la robe qu’il faut, le jupon et le décolleté, l’escarpin et l’étole. Et les centaines de vêtements portés une fois recèlent sa mémoire, son identité, ses rêves. Jusqu’au jour où Darling, frivole jusqu’à l’inconscience, parviendra à se faire cet aveu : « Je veux dormir sans chemise, sans nuisette, sans pyjama, sans culotte, sans tricot, nue, nue dans ses bras. » La romancière de J’étais l’origine du monde nous entraîne dans une véritable psychanalyse, romanesque et souriante, du vêtement et de la fashion victim.

      Le Livre de Poche: Fringues
    • 2003

      C'est plus fort qu'elles, les femmes ont besoin de parler. Généreuses, excessives, bavardes, elles usent plusieurs milliers de mots par jour, pour dire leurs bonheurs, leurs chagrins, leurs angoisses, leurs amours ou leurs mensonges...Les hommes, eux, sont avares. Quelques mots à peine, pour le superflu. Sur l'essentiel, ils ne disent rien, et c'est bien là le problème.Avec l'humour et l'impertinence qui ont fait le succès de Fringues , Christine Orban mène à travers Idylle, sa nouvelle héroïne, la plus difficile des enquêtes : tenter de comprendre le mystérieux silence des hommes.

      Le silence des hommes
    • 2002

      Fringues

      • 256pages
      • 9 heures de lecture
      2,4(3)Évaluer

      « Les hommes sont carnivores. Ils aiment la chair ; il faut leur en donner. Mais pas trop. J'ai besoin d'étoffes étourdissantes, de lamé, de satin, de jupons juponnés, de bas résille et de talons bobines pour embobiner. »Darling est une dingue de fringues. Une fille qui s'amuse à assortir les hommes à ses robes, une « serial shoppeuse » effrénée. Sa vie est dans ses placards, ses fringues sont sa famille, ses complices, sa philosophie.Darling est adorable et exaspérante, une fille unique en son genre (ou presque !)Christine Orban connaît les milieux de la mode, le monde et la ville comme personne. Sa vision de cet univers fermé, de ses codes, de ses clans, est irrésistible.S'habiller, c'est se dévoiler.Après avoir lu Fringues ,vous connaîtrez tout des autres.Et beaucoup de vous...

      Fringues