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Jean Dufournet

    Die "Très riches heures" von Jean, Duc de Berry
    Le Jeu de Saint Nicolas
    Le roman de Renart
    Aucassin et Nicolette
    Lire et Voir les Classiques: Le Roman de Renard
    Les Très Riches Heures du duc de Berry
    • 2005

      Le Jeu de Saint Nicolas

      Edition bilingue français-ancien français

      • 290pages
      • 11 heures de lecture

      Saint Nicolas, selon la légende, a le pouvoir de préserver des voleurs les trésors qui lui sont confiés. C’est ainsi qu’un roi d’Afrique, adepte de la religion de Mahomet, est mis au défi par un saint homme chrétien : il accepte de laisser sa fortune sous la seule garde d’une statue de saint Nicolas, dans son palais dont les portes seront laissées ouvertes. Ayant appris la nouvelle, Rasoir, Cliquet et Pincedé – trois joyeuses crapules – s’emparent du magot. De retour à leur quartier général, une taverne, ils boivent, jurent, se querellent et jouent aux dés. Jusqu’à ce que saint Nicolas fasse son apparition pour ordonner que le biens royaux soient restitués, ce qui entraîne la conversion des Sarrasins... Dans Le Jeu de saint Nicolas , tout le monde joue : les personnages, avec les dés et le trésor, mais aussi Jean Bodel, l’un des plus grands écrivains du Moyen Âge, qui jongle avec les mots, les rimes, les motifs et les genres, donnant ainsi naissance au jeu dramatique médiéval. Une œuvre drôle et subtile, qui laisse une large part au vin et à la poésie.

      Le Jeu de Saint Nicolas
    • 1995

      Les Très Riches Heures du duc de Berry

      • 80pages
      • 3 heures de lecture
      4,6(11)Évaluer

      Sont reproduits en couleurs les 14 premiers feuillets sur les 206 qui composent les Très riches heures : le calendrier qui indique « la signification et la prière de chaque jour » et l'homme anatomique. L'exécution de l'ouvrage débuta en 1410 pour s'étendre sur tout le XVème siècle. Notes, bibliographie. 1995, 23,5 x 32 cm., br., 80 pages.

      Les Très Riches Heures du duc de Berry
    • 1991
    • 1987
    • 1984

      Aucassin et Nicolette

      • 192pages
      • 7 heures de lecture
      3,7(50)Évaluer

      Lorsque Aucassin entendit Nicolette dire qu'elle voulait s'en aller dans un autre pays, une profonde affliction envahit son âme : «Ma très douce amie, fait-il, vous ne partirez pas, car ce serait me tuer. Le premier qui vous verrait et qui en aurait la possibilité, vous enlèverait aussitôt et vous mettrait dans son lit, faisant de vous sa maîtresse. Et une fois que vous auriez couché dans le lit d'un autre homme que moi, n'allez pas vous imaginer que j'attendrais de trouver un couteau pour me poignarder et me tuer. (...) - Ah ! fait-elle, je ne crois pas que vous m'aimiez autant que vous le dites ; mais je vous aime plus que vous ne le faites. - Allons donc ! répond Aucassin, ma très douce amie, il n'est pas possible que vous m'aimiez autant que je vous aime. La femme ne peur aimer l'homme autant que l'homme aime la femme ; car l'amour de la femme réside dans son œil et tout au bout de son sein et tout au bout de son orteil, mais l'amour de l'homme est planté au fond de son cœur d'où il ne peut s'en aller.»

      Aucassin et Nicolette