Witold Gombrowicz fut un romancier et dramaturge polonais dont les œuvres se caractérisent par une profonde analyse psychologique, un sens du paradoxe et une touche absurde et antinationale. Ses écrits explorent souvent des thèmes tels que l'immaturité, la formation de l'identité à travers les interactions sociales et un examen ironique des rôles sociaux. Bien qu'il n'ait acquis la célébrité que dans les dernières années de sa vie, Gombrowicz est aujourd'hui considéré comme une figure majeure de la littérature polonaise, célébré pour sa voix unique et ses perspicaces et ironiques réflexions sur l'existence humaine.
Être invité aux dîners du vendredi chez la comtesse Fritouille est un immense honneur : convives élégants, nourriture végétarienne et délicate, conversation raffinée. Mais certaines réceptions peuvent être surprenantes...Surprenant aussi ce juge d'instruction qui veut prouver à tout prix qu'Ignace K. est mort assassiné, ou Alice, jeune fille vierge, qui utilise son innocence avec une naïveté dérangeante.
Les Souvenirs de Pologne, cycle de feuilletons écrits au début des années 60 pour la Radio Europe Libre de Munich, mais jamais diffusés, a été retrouvé en 1976 dans les papiers posthumes de l'auteur de Ferdydurke par sa femme Rita Gombrowicz. Sachant qu'il s'adresse à un large public de radio, Gombrowicz a donné à ces textes un ton léger et spontané sans pour autant simplifier l'aspect des problèmes qu'il abordait. Riches en éléments autobiographiques concernant principalement ses années de jeunesse et de formation, les Souvenirs de Pologne donnent à l'auteur l'occasion de brillantes et profondes analyses de divers aspects de la vie polonaise de l'entre-deux-guerres : le monde littéraire et artistique, la politique, les femmes, l'aristocratie, l'intelligentsia, la jeunesse. Les admirateurs du grand écrivain polonais trouveront dans ses Souvenirs de Pologne un complément passionnant de son célèbre, journal.
Il règne autour des murailles du sinistre château de Myslocz une atmosphère bien étrange. On raconte alentours qu’un trésor y serait enfoui, que certaine pièces seraient hantées, que le Prince, maître des lieux, serait frappé par la folie. Une « faune » singulière gravite autour de ce lieu maudit et maléfique : une jeune héroïne fatale, son double masculin qui attire le mal comme un aimant, un savant trop naïf, un secrétaire sans scrupule et un étrange mage… Tous ces pions sont en place, certains sont littéralement possédés par d’autres, ou par le mal dans sa plus pure essence. Ils vont d’observer, se tromper, se haïr ou même s’aimer dans un climat d’angoisse et d’épouvante. Quel est donc le terrible secret qui peuple les corridors de Myslocz?
Tous les lecteurs de Witold Gombrowicz connaissent son Journal, paru dans la revue de l'émigration polonaise Kultura. Mais personne à ce jour ne soupçonnait l'existence d'un autre journal, sulfureux, celui dont l'auteur disait à sa femme Rita : "Si la maison brûle, tu prends le Kronos et les contrats, et tu cours le plus vite possible". Le manuscrit en était resté totalement secret, après la mort de Gombrowicz en 1969 à Vence. De ce paquet de feuilles écrites à la main, avec des abréviations qui font penser à un texte kabbalistique, l'auteur surgit, mis à nu. Dans sa préface, Yann Moix écrit justement : "D'où vient que ces pages inédites sont si extraordinaires ? De ce qu'elles sont ordinaires, justement. Ces pages sont des journées. Des journées comme les vôtres, comme les miennes. Pour la première fois, on peut assister, en temps réel, aux effets du quotidien sur le génie gombrowiczien". Les ennuis de santé et d'argent. Les lieux. La gloire tardive qui l'atteint. La sexualité sans fard. C'est la coulisse de l'oeuvre, le laboratoire ouvert à notre regard.
Il règne autour des murailles du sinistre château de Myslocz une atmosphère bien étrange. On raconte alentours qu’un trésor y serait enfoui, que certaine pièces seraient hantées, que le Prince, maître des lieux, serait frappé par la folie. Une « faune » singulière gravite autour de ce lieu maudit et maléfique : une jeune héroïne fatale, son double masculin qui attire le mal comme un aimant, un savant trop naïf, un secrétaire sans scrupule et un étrange mage… Tous ces pions sont en place, certains sont littéralement possédés par d’autres, ou par le mal dans sa plus pure essence. Ils vont d’observer, se tromper, se haïr ou même s’aimer dans un climat d’angoisse et d’épouvante. Quel est donc le terrible secret qui peuple les corridors de Myslocz?
Just before the outbreak of World War II, young Witold Gombrowicz left his home in Poland and set sail for South America. In 1953, still living as an expatriate in Argentina, he began his "Diary" with one of literature's most memorable openings. Gombrowicz's "Diary" grew to become a vast collection of essays, short notes, polemics, and confessions on myriad subjects ranging from political events to literature to the certainty of death. Not a traditional journal, "Diary" is instead the commentary of a brilliant and restless mind. Widely regarded as a masterpiece, this brilliant work compelled Gombrowicz's attention for a decade and a half until he penned his final entry in France, shortly before his death in 1969.
A landmark autobiography written by a Polish expatriate living in Argentina is presented in a single-volume edition, now with previously unpublished pages restored. Original.
The book features a subtitle that provides additional context or thematic depth, along with a portion of the statement of responsibility that indicates the contributors or authors involved in its creation. This information enhances the reader's understanding of the book's focus and the expertise behind it.