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Edwin Muir

    Edwin Muir était un poète, romancier et traducteur des Orcades, connu pour avoir rendu Franz Kafka accessible en anglais, avec sa femme Willa Anderson. L'œuvre de Muir explore les complexités du monde intérieur, abordant souvent les thèmes de l'identité et de la mémoire. Son vaste corpus de poésie et de prose, comprenant plusieurs recueils de vers et des romans, offre un engagement profond envers l'expérience humaine. Le style distinctif de Muir se caractérise par sa qualité introspective et son ton méditatif, offrant aux lecteurs une perspective unique pour aborder les questions existentielles.

    Edwin Muir
    L'amérique
    La métamorphose
    Le procés
    Collected poems
    Selected Short Stories of Franz Kafka
    Edwin Muir: An Autobiography
    • Edwin Muir: An Autobiography

      • 287pages
      • 11 heures de lecture
      4,0(1)Évaluer

      From his sheltered childhood in Orkney to the turmoil of industrial Glasgow, Edwin Muir was witness to some of the most traumatic years and events of our modern age. And yet, in his life and in his art, he was constantly haunted by the symbolic 'fable' which he longed to find beneath the surface reality of the everyday. From his dream notebooks to his travels in Eastern Europe, Muir paints an unforgettable picture of the slow and sometimes painful growth of a poet's sensibility as he comes to terms with his own nature amidst the terror and confusion of the twentieth century.

      Edwin Muir: An Autobiography
    • Selected Short Stories of Franz Kafka

      • 360pages
      • 13 heures de lecture
      4,1(902)Évaluer

      Franz Kafka's enigmatic, deadpan, and deeply pessimistic stories are central to literary modernism. In 'The Metamorphosis', the estrangement of everyday life becomes corporealized when Gregor Samsa wakes up as a giant bug and wonders how he is going to get to work on time. Kafka inverts the implied degradation of a man's transformation into an animal in 'A Report of the Academy', an ape's address to a group of scientists.

      Selected Short Stories of Franz Kafka
    • Le procés

      • 311pages
      • 11 heures de lecture
      4,1(18469)Évaluer

      Le jour de son arrestation, K. ouvre la porte de sa chambre pour s'informer de son petit-déjeuner et amorce ainsi une dynamique du questionnement qui s'appuie, tout au long du roman, sur cette métaphore de la porte. Accusé d'une faute qu'il ignore par des juges qu'il ne voit jamais et conformément à des lois que personne ne peut lui enseigner, il va pousser un nombre ahurissant de portes pour tenter de démêler la situation. À mesure que le procès prend de l'ampleur dans sa vie, chaque porte ouverte constitue une fermeture plus aliénante sur le monde de la procédure judiciaire, véritable source d'enfermement et de claustrophobie. L'instruction suit son cours sur environ un an durant lequel l'absence d'événements est vue uniquement à travers les yeux de K. Sa lucidité, dérisoire et inutile jusqu'à la fin, contrairement à celle du héros de "La Métamorphose", n'apporte aucun soulagement. Le Procès, pièce charnière dans l'oeuvre de ce génie de l'absurde, renonce au ressort du surnaturel pour évoquer l'angoisse de l'obsession. --Sana Tang-Léopold Wauters

      Le procés
    • Lorsque Gregor Samsa s'éveille, un matin, après des rêves agités, il est bel et bien métamorphosé. Doté d'une épaisse carapace d'où s'échappent de pitoyables petites pattes ! Lugubre cocasserie ? Hélas, ultime défense contre ceux qui, certes, ne sont pas des monstres mais de vulgaires parasites... Les siens. Père, mère, soeur, dont l'ambition est de l'éliminer après avoir contribué à l'étouffer. Ici, un homme se transforme en coléoptère monstrueux, là, un engin pervers tue avec application... Dans la colonie pénitentiaire, c'est l'expérimentation en direct. Une machine infernale s'acharne sur un soldat soumis. Une machinerie hors pair, digne d'un inventeur à l'imagination torturée ! Kalka, maître de l'humour noir, de l'absurde et du grotesque, un auteur à redécouvrir !

      La métamorphose
    • Lorsque, a seize ans, le jeune Karl Rossmann, que ses pauvres parents envoyaient en exil parce qu'une bonne l'avait séduit et rendu pere, entra dans le port de New York sur le bateau déja plus lent, la statue de fla Liberté, qu'il observait depuis longtemps lui apparut dans un sursaut de lumieres. On eut dit que le bras qui brandissait l'épée s'était levé a l'instant meme, et l'air libre soufflait autour de ce grand corps...

      L'amérique