Cette édition numérique a été réalisée à partir d'un support physique, parfois ancien, conservé au sein du dépôt légal de la Bibliothèque nationale de France, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l'exploitation des Livres indisponibles du XXe siècle. Beaucoup de survivants de la Shoah ont vu réapparaître ce que l'on croyait à jamais banni et qui a pris ce nom atroce de purification ethnique en Yougoslavie. Il faut donc poser une fois encore l'énigme : la dernière carte des Juifs d'Europe s'est jouée dans la Mitteleuropa, là où on a cru qu'on pouvait être Juif et Allemand. Mais l'a-t-on cru vraiment ? « Copyright Electre » Pages de début Introduction - D'une révision l'autre Première partie - Naissance et apothéose de la judéo-germanité 1 - Le Platon allemand était juif 2 - La charte du judaïsme moderne 3 - Dialogue judéo-allemand ou monologue juif-allemand ? 4 - Les enfants d'Hermann 5 - Allemagne, nouvel Israël ? Deuxième partie - Modernité, judéité 6 - Un désinfectant nommé argent 7 - La haine de l'argent/du Juif/du réel Troisième partie - La défaite de la judéo-germanité 8 - La question des Juifs de l'Est 9 - Freud, nouveau Moïse ? 10 - La mise àmort de Walther Rathenau Conclusion Précisions Index nominum Pages de fin
Philippe Simonnot Livres




Die Schuld lag nicht bei Deutschland
- 70pages
- 3 heures de lecture
Dieses Buch schlägt ein wie der Blitz: Es stellt die deutsche Verantwortung für den Ausbruch des Ersten Weltkriegs radikal in Frage. Dafür wird die gesamte französische Geschichtsschreibung vom langjährigen Le Monde-Journalisten, Ökonomen, Juristen und Wirtschaftshistoriker Philippe Simonnot einer grundlegenden Revision unterzogen. Ohne sich Illusionen über die Narreteien wilhelminischer Diplomatie zu machen, beweist Simonnot die Geheimabrede zwischen dem Frankreich Poincarés und dem zaristischen Russland, um die kriegerische Rückeroberung von Elsass und Lothringen und Russland den Griff auf Konstantinopel und die Dardanellen zu ermöglichen. Simonnot zieht dabei historische Untersuchungen zu Rate, die bislang in Frankreich tabu sind. Der Leser dieses Buches wird erkennen, wie die Schuld am Ausbruch des Ersten Weltkriegs von den Siegern im Versailler Frieden diktiert, von der französischen Politik und der Geschichtswissenschaft fortgeführt und schließlich von Philippe Simonnot in Frage gestellt wird. „Die deutsch-französische Freundschaft ist reif genug, um diesen Befreiungsschlag der Wahrheit zu ertragen“, sagt Philippe Simonnot mit Augenzwinkern.