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Marie Desplechin

    7 janvier 1959

    Marie Desplechin est une auteure de plus de trente livres pour enfants et adultes, publiée à l'international. Immensément populaire dans sa France natale, son écriture offre des aperçus profonds de la psyché humaine, explorant des thèmes universels tels que l'amour, la perte et la recherche d'identité. À travers des récits captivants et un style pénétrant, elle plonge dans les complexités des relations humaines et de la condition humaine.

    Le journal d'Aurore
    Trop sensibles
    Séraphine
    Babyfaces
    Verte
    Satin grenadine
    • Lucie est persuadée qu'au xxe siècle, les demoiselles de la bonne bourgeoisie parisienne auront le droit de courir toutes nues, d'aller à la messe en cheveux, de parler à table et même, qui sait? de s'instruire et de ne pas se marier. À quoi bon vieillir, sinon? Le problème, c'est que nous ne sommes qu'en 1885 et qu'à treize ans, la seule éducation qu'une jeune fille comme Lucie est censée recevoir consiste à savoir tenir une maison pour devenir une pouse accomplie. Hygiène, lessive, cuisine : Lucie est envoyée faire son apprentissage avec Annette, Fanny et Marceline. Si ses parents savaient ... Il se passe parfois des choses étranges, dans les communs des maisons bourgeoises. Les domestiques peuvent s'y révèler plus passionnants et subversifs que des livres. On y fait des révolutions en secret. On y organise des expéditions aux Halles au petit matin, ce Ventre de Paris peint par Monsieur Zola d'où sortiront bientôt tant d'idées neuves, socialisme, anarchisme, féminisme ... [L'école des loisirs]

      Satin grenadine
    • Verte

      • 176pages
      • 7 heures de lecture
      3,7(25)Évaluer

      A onze ans, la petite Verte ne montre toujours aucun talent pour la sorcellerie. Pire que cela, elle dit qu'elle veut être quelqu'un de normal et se marier. Sa mère, Ursule, est consternée. C'est si important pour une sorcière de transmettre le métier à sa fille. En dernier ressort, elle décide de confier Verte une journée par semaine à sa grand-mère, Anastabotte. Puisqu'elles ont l'air de si bien s'entendre. Dès la première séance, les résultats sont excellents. On peut même dire qu'ils dépassent les espérances d'Ursule. Un peu trop, peut-être.

      Verte
    • À l’école, personne n’aime Nejma. Elle est nulle, méchante, moche et mal habillée. En plus, elle crache par terre. Mais on ne lui dit jamais rien, parce que tout le monde sait qu’il ne faut pas pousser à bout une personne qui n’a rien à perdre.Aussi, le jour où Jonathan Suyckerbuck, grand amateur de catch, est retrouvé inconscient derrière la porte de la cantine, c’est Nejma qu’on accuse. Elle a beau se défendre, personne ne la croit. Elle fait une coupable idéale.Mais Nejma n’est pas aussi seule qu’elle veut bien le croire. Au tour de son voisin et ami Rajanikanth, alias Raja, alias Freddy, de faire quelque chose pour Nejma, elle qui l’a toujours protégé.Sans oublier Isidore, le vigile du supermarché dans lequel Nejma se réfugie après les cours. Isidore estime Nejma. Il la voit différemment. Il a même prononcé ces mots magiques : « Tu n’es pas grosse. Tu es puissante. »

      Babyfaces
    • A Montmartre, en 1885, alors que le souvenir de la Commune de Paris est encore vivace, Séraphine, treize ans, se demande que faire de sa vie. En effet, pour une jeune fille pauvre comme elle qui ne veut être ni nonne ni couturière, il n'y a guère de possibilité. Aussi s'en remet-elle à sainte Rita, patronne des causes désespérées.

      Séraphine
    • Qui sait ce qu'il en est d'aimer ? Détailler l'un pour l'autre les petites contrariétés et les menus faits du jour ; remplir son sac de voyage de ses vêtements courants, s'asseoir à la table de la cuisine et tenter de rédiger un mot d'adieu commençant par " Cher Rémi " ; se laisser surprendre, la nuit, par une crise de solitude ; passer l'essentiel de ses journées coincée entre un téléphone, un fax, des dossiers, puis, un beau jour, partir pour le Japon... Ce sont huit histoires, liées par une même ironie. Elles semblent s'ordonner autour de questions sans importance, mais toutes, souterrainement, retracent une rupture, l'instant d'une décision, le moment où nous choisissons notre vie.

      Trop sensibles
    • Le journal d'Aurore

      Jamais contente. Toujour fachèe

      Rencontrez Aurore, une adolescente, à travers les pages de son journal

      Le journal d'Aurore
    • Que faire d'une jeune femme qui s'installe chez vous avec armes et bagages, sous prétexte qu'elle n'a pas de domicile et qu'elle s’entend bien avec vos enfants ? Son portrait, peut-être. Enfant de la DDASS, fille des rues, « fourmi » pour un dealer et prostituée occasionnelle, Olivia porte en elle un passé chargé et un présent hasardeux. Avec elle, c'est un peu de la violence et de la corruption du monde qui frappe à votre porte. Mais le bien n’est pas l'envers du mal, pas plus que le blanc n'est l'envers du noir, et Olivia vient brouiller tous les repères de celle qui l'héberge. Ingénue professionnelle, libertine à son insu, cette accidentée de la vie est pleine d'une énergie vitale qui fait craquer toutes les digues. Dans ce livre cruel à force de justesse, Marie Desplechin effleure, sans craindre de faire mal, nos zones sensibles : les faux-semblants, trahisons infimes, petits accommodements sans importance où se joue chaque jour notre survie morale.

      Sans moi