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Jean-Marie Rouart

    Une jeunesse perdue
    La guerre amoureuse
    Une jeunesse à l'ombre de la lumière
    Une famille dans l'Impressionnisme
    Nous Ne Savons Pas Aimer
    Morny: Un voluptueux au pouvoir
    • Morny: Un voluptueux au pouvoir

      • 250pages
      • 9 heures de lecture
      4,3(7)Évaluer

      L'homme de toutes les séductions. Morny a fasciné ses contemporains. Sa vie aventureuse, ses passions, l'énigme de sa naissance n'ont pas cessé de nourrir l'imagination des romanciers acharnés à percer son secret. Balzac s'est inspiré de lui pour créer le fastueux et cynique Marsay ; Daudet en a fait un héros du Nabab ; Zola le dépeint comme un érotomane. Personnage digne à la fois de Marivaux et de Tacite, dit Victor Hugo qui voit en lui l'illustration des turpitudes élégantes du Second Empire. Fils adultérin de la reine Hortense, peit-fils caché de Talleyrand, est-ce dans sa bâtardise que Morny puise une énergie redoublée pour la conquête du pouvoir et la quête frénétique des femmes ?C'est avec Napoléon III, son demi-frère, la personnalité la plus passionnante et la plus mystérieuse du Second Empire.

      Morny: Un voluptueux au pouvoir
    • 352pages. poche. Broché. Beaucoup de femmes dans ce roman autobiographique, et quelques hommes célèbres. Une rousse rencontrée un soir dans un bar, Diana, Anouchka, Stella, Flore, Béatrice et d'autres encore. Toutes ces femmes ont été aimées. Jean-Marie Rouard les raconte en transmettant le feu de l'émotion et du désir qui a pu faire la rencontre, mais aussi la distance ironique et une forme de lucidité sur l'amour qui en solde l'échec. Idem pour les hommes. Rouard décrit ses rencontres avec Mitterrand et Giscard, le premier alors qu'il n'est pas encore président, le deuxième alors qu'il ne l'est plus. De ces expériences ? sa vie ?, il tire une leçon de moraliste assez sévère : "nous gagnons des sphères auxquelles nous nous croyons incapables d'accéder". Nous ne savons pas aimer, le titre est assez éloquent, participe d'un genre romanesque français très particulier, celui de l'homme de lettres reconnu (académicien si possible, c'est le cas de Jean-Marie Rouard

      Nous Ne Savons Pas Aimer
    • Une famille dans l'Impressionnisme

      • 167pages
      • 6 heures de lecture

      Jean-Marie Rouart appartient à une famille de peintres. Son arrière-grand-père Henri Rouart, polytechnicien, inventeur de moteurs et de machines thermiques, fut élève de Corot et ami de Degas. Son rôle de collectionneur a fait date dans l'histoire de l'impressionnisme. Son autre arrière-grand-père, Henry Lerolle, était également peintre et ami de Degas. Les deux filles d'Henry Lerolle épousèrent les deux fils d'Henri Rouart. Julie Manet, fille de Berthe Morisot et d'Eugène Manet, frère d'Edouard Manet, épousa Ernest Rouart, un autre frère. La cousine de Julie épousa Paul Valéry. Tout le monde peignait et vivait dans la familiarité des plus beaux tableaux de Manet, Renoir, Degas, Corot et bien d'autres. Jean-Marie Rouart a été élevé dans ce monde de la peinture, prolongé également par son père et par son oncle. Il a évoqué de nombreux souvenirs dans son livre Une jeunesse à l'ombre de la lumière (Gallimard, 2000), sans pouvoir décrire ou montrer ces tableaux qui furent ses compagnons de jeunesse. Ces œuvres, qui souvent représentent des membres de sa famille, sont dispersées dans des musées aux quatre coins du monde. Dans cet ouvrage, montrant plus de cent trente peintures et photographies d'époque, Jean-Marie Rouart a essayé de réintégrer ces tableaux dans le décor qui fut si longtemps le leur et qui fut le cadre de sa vie.

      Une famille dans l'Impressionnisme
    • C'est le récit autobiographique d'un jeune homme pauvre dans une famille riche, allergique à la peinture et vivant au milieu des tableaux de Manet, de Berthe Morisot, de Degas qui forment son cadre quotidien. Malheureux et sombre, errant parmi les souvenirs de ces peintres de la lumière, cultivant une névrose d'échec face à des artistes statufiés par la gloire, il se sent menacé par l'aile noire de la folie. C'est à travers la figure d'un peintre du début du XIXe siècle, Léopold Robert - mélancolique, suicidaire, amoureux d'une princesse Bonaparte qui se moque de lui -, en qui il a reconnu son double, que l'écrivain nous entraîne dans la quête de ses origines. S'interrogeant sur le mystère d'une destinée que tout conduisait au ratage, il brosse une fresque de la grande famille de l'impressionnisme qu'il observe des coulisses et de l'atelier.

      Une jeunesse à l'ombre de la lumière
    • La guerre amoureuse

      • 272pages
      • 10 heures de lecture

      Un écrivain sans œuvre dirige une revue d'art grâce à une mécène. À Helsinki pour un colloque, il rencontre Helena, une étudiante en lettres, et en tombe amoureux.

      La guerre amoureuse
    • Ancien séducteur sur le déclin et spécialiste en art, le narrateur voit sa vie lui échapper. Tout l'ennuie, à commencer par son mariage avec Jeanne, une sous-préfète très conventionnelle. Sa rencontre avec la jeune Véronica Orlov lui redonne goût à la vie et l'envie de plaire. Mais sa femme découvre sa liaison et demande le divorce. Quant à Véronica, elle n'en veut qu'à son argent.

      Une jeunesse perdue
    • La vérité sur la comtesse Berdaiev

      • 208pages
      • 8 heures de lecture

      Pourquoi le destin s'acharne-t-il sur la comtesse Berdaiev? Aristocrate très belle et très libre, elle appartient à la communauté des Russes blancs, ces exilés qui ont fui l'Union soviétique après la révolution de 1917. Personnalités fantasques et passionnées, minées par la nostalgie et songeant à des projets impossibles, ils ont du mal à trouver leur place dans une société française qui les regarde comme des vestiges anachroniques. Cherchant dans l'amour et dans l'étourdissement des plaisirs un remède à leur mal de vivre, partagés entre la misère et l'opulence, prêts à tous les expédients pour survivre, ils sont la proie de tous les faux donneurs d'espoir et surtout de leurs rêves. Déjà victime de l'Histoire qui l'a condamnée à l'exil et à la ruine, la comtesse Berdaiev va se trouver impliquée dans une affaire de mœurs éclaboussant le milieu politique dans les débuts ténébreux de la Ve République. Librement inspiré du scandale des Ballets roses, ce roman renoue avec les thèmes chers à Jean-Marie Rouart : la passion amoureuse confrontée avec la brutalité du pouvoir, face à une société qui se veut toujours moralisatrice.

      La vérité sur la comtesse Berdaiev