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Jean-Claude Grumberg

    26 juillet 1939
    The Most Precious of Cargoes
    Courtes pièces à lire et à jouer
    L'atelier
    Ubu Roi
    Jacqueline Jacqueline
    La plus précieuse des marchandises - Un conte
    • Il était une fois, dans un grand bois, une pauvre bûcheronne et un pauvre bûcheron. Non non non non, rassurez-vous, ce n'est pas Le Petit Poucet ! Pas du tout. Moi-même, tout comme vous, je déteste cette histoire ridicule. Où et quand a-t-on vu des parents abandonner leurs enfants faute de pouvoir les nourrir ? Allons... Dans ce grand bois donc, régnaient grande faim et grand froid. Surtout en hiver. En été une chaleur accablante s'abattait sur ce bois et chassait le grand froid. La faim, elle, par contre, était constante, surtout en ces temps où sévissait, autour de ce bois, la guerre mondiale. La guerre mondiale, oui oui oui oui oui

      La plus précieuse des marchandises - Un conte
    • C’est durant la réception internationale de La Plus Précieuse des marchandises que Jean-Claude Grumberg perd Jacqueline son épouse.Depuis, jour et nuit, il tente de lui dire tout ce qu’il n’a pas pu ou pas osé lui dire. Sans se protéger, ni rejeter ce qu’il ne peut ni ne veut comprendre, il dialogue avec la disparue.Incrédulité, révolte, colère se succèdent. Dans ses propos en cascades, réels ou imaginaires, qui évoquent la vie de tous les jours, Grumberg refuse de se raisonner, de brider son deuil. Les jeux de mots, l’humour, l’ironie, l’autodérision n’y changent rien.Dans ce livre, où alternent trivialité et gravité, entre clichés et souvenirs, l’auteur dit la difficulté d’exprimer ce qu’il ressent.Jean-Claude Grumberg fait son livre « pour et avec » Jacqueline, exaltant l’amour et l’intimité de la vie d’un couple uni pendant soixante ans.

      Jacqueline Jacqueline
    • Ubu Roi

      • 157pages
      • 6 heures de lecture
      3,4(223)Évaluer

      Dans une Pologne imaginaire, aux confins de " nulle part " et " nul ne sait où ", le Père Ubu a, dit-on, tué le roi et usurpé le pouvoir. Il inflige à ses ennemis toutes sortes de tortures à l'aide de ses armes fétiches, comme sa redoutable machine à décerveler ! Effrayante et ridicule à la fois. Cette créature étrange, jamais avare de grossièretés, nous entraîne dans une rocambolesque farce où l'on rit mais où l'on frémit aussi quand sont dénoncés les vices de notre humanité.

      Ubu Roi
    • L'atelier

      • 156pages
      • 6 heures de lecture

      Dans un atelier de confection, de 1945 à 1952, des employés travaillent et, entre rires et larmes, racontent leur vie pendant l'Occupation et dans l'immédiat après-guerre : un Juif qui a été déporté, un autre qui a vécu caché en zone occupée, une troisième qui s'est réfugiée en zone libre, une quatrième, encore, dont le mari a été arrêté et envoyé dans les camps, mais aussi des jeunes gens à peine touchés par la guerre et une femme dont le mari fonctionnaire a peut-être collaboré... Autant de destins différents qui se croisent et soulèvent tous la même question : comment vivre après le traumatisme de la guerre et de la Shoah ?

      L'atelier
    • Quand Gripari ou Grumberg s'emparent de célèbres personnages de contes, cela donne lieu à des situations insolites et détonantes : alors que l'inspecteur Toutou reçoit le Prince charmant dans son bureau, Suzanne Zonzon, raccommodeuse de couples, tente de réconcilier l'Ogresse et le Petit Poucet... Et lorsque Dubillard et Tardieu se jouent du langage, l'absurde devient roi : Un et Deux décident de cuisiner un pot-au-feu mais finissent au restaurant, tandis que Monsieur A et Madame B se retrouvent dans les bras l'un de l'autre après s'être rencontrés par hasard ! Ces quatre courtes pièces, aussi amusantes à lire qu'à jouer, initieront les élèves aux codes du genre théâtral et leur feront découvrir, avec beaucoup de plaisir, l'oeuvre magistrale de quatre grands auteurs du XXe siècle. Elles leur permettront également d'aborder le conte et d'appréhender le jeu sur le tangage. En outre, l'appareil pédagogique est suivi d'une interview exclusive de Jean-Claude Grumberg.

      Courtes pièces à lire et à jouer
    • The Most Precious of Cargoes

      • 96pages
      • 4 heures de lecture
      4,2(1445)Évaluer

      A fairytale-like novel set during the height of World War II finds a childless, impoverished woodcutter's wife risking her safety to take in and protect a Jewish baby, a twin abandoned under desperate circumstances.

      The Most Precious of Cargoes
    • Jean-Claude Grumberg: Three Plays

      • 192pages
      • 7 heures de lecture

      The collection showcases the work of a prominent French dramatist, acclaimed with seven Molières, who explores the complexities of Jewish life in post-Holocaust Europe. These plays provide a poignant and vivid portrayal of cultural identity and the lingering effects of history, making them a significant contribution to contemporary drama. Through rich storytelling and character development, the author invites readers into the nuanced experiences of the Jewish community in France.

      Jean-Claude Grumberg: Three Plays
    • Eine Holzfällersfrau wünscht sich ein Kind, und ihr Traum wird auf tragische Weise durch einen Güterzug erfüllt, der Menschen in Konzentrationslager transportiert. Jean-Claude Grumberg erzählt poetisch von den Schrecken der Geschichte und der Liebe der Eltern zu ihrem Kind, das zum „kostbarsten aller Güter“ wird. Illustriert von Ulrike Möltgen.

      Das kostbarste aller Güter. Ein Märchen
    • Nejspíš sníš

      • 62pages
      • 3 heures de lecture
      5,0(1)Évaluer

      Známý divadelní herec dostane obsílku k soudu. Je proti němu zahájen proces, v němž je stíhán za zločiny, které páchá ve snu. Herec zkouší Hamleta a zdává se mu o zavraždění Polonia – i z toho se musí odpovídat u soudu – a vypadá to, že se soudce chystá sledovat i jeho „zločiny“ divadelní. Tato kafkovská groteska se shakespearovskými a freudovskými motivy se posléze překvapivě skládá v podobenství o důsledcích násilí a totalitní moci.

      Nejspíš sníš
    • Ein Buch, das zwar vom zeitlosen Leid der Flüchtlinge erzählt, aber den Leser durch seinen zarten Humor immer wieder zum Schmunzeln bringt. Denn auch in schlimmen Zeiten sollten wir den Humor nicht verlieren. Außerdem hält das Buch ein Happy End bereit, das natürlich mit der Musik der Kellergeiger zu tun hat, die auch verhärtete Herzen erweichen kann. Die Familie Kellergeiger möchte nicht bleiben, wo sie ist, denn dort mag man keine Menschen, die zum Völkchen der Kellergeiger gehören. Weil sie zu spitze oder zu runde Nasen haben, zu weiß, zu braun oder zu schwarz sind, weil sie zu viele Kinder haben oder gar keine oder nur ein paar. Also beschließen unsere Kellergeiger das So-gut-wie-Nichts, das sie besitzen, gegen noch weniger als Nichts einzutauschen und fortzugehen. An der Grenze erwartet sie allerdings ein schier unüberwindbarer Zaun – aber mit Musik und Geschick überwinden sie ihn. Doch nun sind sie vom Regen in die Traufe gekommen, denn sie werden mit so dummen Fragen konfrontiert, dass wieder nur Humor sie weiterbringt …

      Ein neues Zuhause für die Kellergeigers