Issus de l'imagination débordante de Pierre Christin et Jean-Claude Mézières, les personnages de Valérian et Laureline sont apparus pour la première fois dans les pages de PILOTE en 1967. Par son inventivité et son audace, cette série est très rapidement devenue la référence absolue pour les lecteurs de bande dessinée de science-fiction
Pierre Christin Ordre des livres
Pierre Christin était un écrivain français célébré, dont les œuvres se caractérisaient par de profondes réflexions sur la société et la nature humaine. Ses récits exploraient souvent des relations interpersonnelles complexes et des dilemmes moraux avec une subtile touche d'ironie et de critique. Christin tissait magistralement des intrigues pleines de suspense avec des considérations stimulantes sur la politique, l'histoire et les chocs culturels. Son style unique et sa capacité à créer des personnages vivants ont laissé une marque indélébile dans le monde littéraire.







- 2017
- 2017
A la suite d'une malencontreuse partie de cartes, les shingouz perdent la propriété de leur société, La Shingouzlouz.Inc. Or il se trouve que cette société, à cause d'une approximation dans l'interprétation des lois intergalactiques, est détentrice de la Terre ! Valérian – par ailleurs très préoccupé par sa future retraite d'agent spatio-temporel – et Laureline doivent rattraper cette bourde et convaincre le nouveau propriétaire, un certain Sha-Oo, "l'Assoifeur de monde", de la restituer à Galaxity. Avec cet album, le scénariste des Vieux Fourneaux et le dessinateur de Long John Silver proposent une science-fiction jubilatoire et décalée, telle qu'on peut la trouver dans Les Héros de l'équinoxe ou Bienvenue sur Aflolol. Un régal !
- 2012
"Avant nous, personne n'avait jamais raconté des aventures comme celles-là. Dans cette série, tout est possible. Chaque nouvel album peut nous conduire absolument où nous voulons". Jean-Claude Mézières. "La science-fiction était un moyen formidable pour surchauffer le réel". Pierre Christin.
- 2010
Bienvenue sur Alflolol
- 48pages
- 2 heures de lecture
Mézières et Christin ont été parmi les tout premiers à aborder ce que l'on n'appelait pas encore l'écologie politique. Bienvenue sur Alflolol, publié en 1972, est l'album où ils posent le plus directement des questions encore aujourd'hui d'une actualité brûlante : jusqu'où peut-on mettre en péril une planète au nom de la rentabilité industrielle? L'obsession productiviste ne détruit-elle pas la civilisation? Le travail est-il une nécessité, une fatalité, une absurdité? Tout cela dans la bonne humeur iconoclaste, car ces espèces de clochards célestes que sont Argol et les siens flanquent évidemment la pagaille dans le camp des technocrates terriens. Quant à leur animal familier, le formidable Goumoun, il a pour fâcheuse habitude de bousiller tout ce qu'il n'aime pas. Très vite la situation devient joyeusement (mais pas pour tout le monde) inextricable!
- 2006
Léna, une jeune femme brune, belle et solitaire, poursuit farouchement une trajectoire qui l'emmène des fantômes de Berlin-Est aux confins de l'Australie, en passant par le labyrinthe d'un bazar syrien. Au fil des rendez-vous clandestins, l'errance intime de Léna, qui tente de redonner un sens à sa vie, s'inscrit dans un complot terroriste aux enjeux mortels.
- 1992
La nuit des clandestins
- 68pages
- 3 heures de lecture
Une petite fille sort d'une belle maison, à la nuit tombée, pour aller cueillir de la ciboulette... Ailleurs, des hommes et d'autres enfants bougent eux aussi. En Afrique, des avions sont tranquillement pris d'assaut. A Alger, il en va de même pour des bateaux. Et puis d'autres arrivent d'Odessa, d'Amérique latine...
- 1985
Collects: - Les foudres d'Hypsis (1985) (Pilote Mensuel 128-135)
- 1977
La ville qui n'existait pas
- 60pages
- 3 heures de lecture
L’album s’ouvre sur la mort d’un riche patron qui a fait fortune en exploitant ses ouvriers. Confronté à la grève des employés, son unique héritière, en collaboration avec les leaders syndicaux, débute alors la création d’une ville “idéale”. Mais un univers sans lutte des classes est-il vraiment emprunt de liberté ?