Vivre sans pourquoi, quitter la dictature de l'après, oser un amour plus vrai : un véritable art de vivre. Alexandre Jollien retrace l'itinéraire spirituel qui l'a conduit à tout quitter pour s'installer avec sa femme et ses trois enfants en Corée du Sud. II confie ses doutes, ses désillusions, ses moments de bonheur. Il livre un enseignement lumineux, un appel toujours plus fort à descendre au plus profond de soi pour trouver la paix, la joie et un authentique amour du prochain. Ce journal spirituel est une invitation à mettre en pratique une ascèse très concrète : du corps, de l'âme et de l'autre, il faut prendre grand soin.
Alexandre Jollien Ordre des livres
Alexandre Jollien est un philosophe et écrivain suisse dont l'œuvre se compose principalement d'essais philosophiques. Un aspect significatif de sa vie, son handicap, influence profondément son écriture, servant souvent de thème central. Les essais de Jollien explorent l'impact concret de ce handicap sur sa vie et le processus pour y faire face. Son travail offre une perspective unique sur l'existence et la recherche de sens.






- 2017
- 2012
Petit traité de l'abandon
Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose
- 128pages
- 5 heures de lecture
Ce petit traité vise à dégager un chemin vers la liberté intérieure en explorant les sentiments qui le jalonnent : l'abandon, l'amitié, la détermination, la fragilité, la gratuité, l'humilité, etc.--[Memento]
- 2006
La construction de soi
- 182pages
- 7 heures de lecture
La construction de soi rassemble une série de lettres qui dessinent un usage de la philosophie envisagée comme un mode de vie, une thérapeutique de l'âme. Ici, les philosophes sont interpellés et mis à l'épreuve. Tour à tour, le lecteur côtoie Boèce, Épicure, Schopenhauer, Spinoza ou Etty Hillesum. Ces guides présentent des voies pour se dégager du passé, des regrets ou de la haine de soi. Ils invitent à se libérer du regard d'autrui et ouvrent au risque de l'acceptation. Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d'une correspondance adressée à Dame Philosophie, cette figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite alors qu'il attendait dans sa prison d'être exécuté. Dans cet itinéraire, l'auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettres entendent dépeindre un état d'esprit qui tente de répondre à l'invite de Spinoza': ''Bien faire et se tenir en joie''.