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Michel Wieviorka

    23 août 1946
    Evil
    The Making of Terrorism
    Violence
    Le séisme!
    L'Empire américain ?
    Retour au sens
    • Retour au sens

      Pour en finir avec le déclinisme

      • 353pages
      • 13 heures de lecture

      Un thème est devenu lancinant : notre monde va très mal et trop vite, l'injustice et la violence règnent sans partage. Dans nos sociétés sans avenir et en proie au cynisme, seule compte l'actualité la plus immédiate. Il existe mille et une façons de s'abandonner ainsi au sentiment de la chute, individuelle ou collective, et celui-ci est singulièrement vif en Europe, et tout particulièrement en France, qui voit son État s'affaiblir et se déliter. Mais l'histoire est ce qu'en font les hommes, il n'y a aucune fatalité, ni naturelle, ni surnaturelle ou divine, qui mènerait nécessairement au pire, et rien n'interdit d'y réfléchir. La perte de sens, le déficit de repères, l'incapacité à nous projeter vers le futur seraient certainement moins envahissants si nous étions capables de mettre en avant des visées, des projets susceptibles de mettre en jeu notre sentiment d'appartenance à une même humanité, de porter des valeurs de solidarité, de responsabilité collective, et, osons le mot, de progrès. L'objectif de cet ouvrage est tout entier là.

      Retour au sens
    • Durant les six mois qui suivent le séisme de l'élection présidentielle, Michael W Squirrel, journaliste américain correspondant à Paris, écrit la chronique de la France et de l'Elysée à l'ère Le Pen. Le pays vit deux grandes premières puisqu'il s'agit de l'accession à la fonction suprême, tout à la fois d'une femme et de l'extrême droite. Les articles de Squirrel donnent à voir Marine Le Pen dès son premier discours, le soir de l'élection, et la soirée de la nouvelle présidente, alors même qu'on apprend que son père a été hospitalisé suite à un malaise cardiaque. Ses ministres ? Dupont-Aignan, Wauquiez, Zemmour... Une vie politique inédite se met en place, tandis que le paysage social et économique se dégrade. La violence rôde. Du journalisme comme on l'aime, hyper-documenté, jamais bavard, pas émotif, porté par un réel talent pour l'analyse et une exceptionnelle connaissance de la société française, de ses acteurs et de ses élites.

      Le séisme!
    • Violence

      A New Approach

      • 194pages
      • 7 heures de lecture
      4,0(1)Évaluer

      Michel Wieviorka's exploration delves into the complex nature of violence, examining its social, political, and historical dimensions. The book offers a nuanced analysis, drawing on various case studies and theoretical frameworks to understand the roots and manifestations of violence in contemporary society. It challenges readers to rethink conventional perceptions and encourages a deeper engagement with the factors that contribute to violent acts. This translation provides access to Wieviorka's critical insights for an English-speaking audience.

      Violence
    • Revised and reissued in light of recent events, this classic and now increasingly important book is an exception in the literature on terrorism. Based on complex observations of actual movement participants, Wieviorka's book addresses a broad spectrum of terrorist activity—from Italian left-wing terrorists to Basque nationalist groups to the international terrorism of Palestine and the Middle East. The result is an incisive analysis of what terrorists believe and what they hope to achieve through their actions. For this new edition, Wieviorka adds new material that remaps the state of terrorism after the events of 2001.

      The Making of Terrorism
    • Evil

      • 180pages
      • 7 heures de lecture
      3,0(2)Évaluer

      Michel Wieviorka's book offers a sociological analysis of contemporary forms of evil, such as terrorism, violence, racism, and hatred. It challenges traditional views by exploring the social, political, and cultural sources of these issues, aiming to enhance our understanding of human behavior and promote a respectful, democratic society.

      Evil
    • Michel Wieviorka untersucht die veränderten Gewaltformen und deren Herausforderungen für die Politik. Die Gewalt war bis in die 1980er Jahre noch nicht die zentrale Figur des Bösen. Man sprach von sozialen Beziehungen und somit von Konflikten und erfasste das Gemeinschaftsleben im Rahmen der Nationalstaaten. Heute ist die Gewalt an die Stelle des Konflikts getreten, und die kulturellen Identitäten erzeugen Spannungen und Ängste. Terrorismus und Krieg siegen über die friedlichen Verhandlungen und vertiefen täglich das weltweite Politikdefizit. Die Gewalt entfaltet sich über diese Phänomene, sie stellt das Böse dar, und die große Frage lautet, ob es möglich ist, ihr das Gute entgegenzusetzen.

      Die Gewalt
    • Dva Derridovy příbuzné texty o náboženství a odpuštění umisťují současné myšlení do kontextu doby, charakterizované dvěma hlavními jevy. Prvním je „návrat náboženství“, zahrnující náboženské války, fundamentalismus a střet civilizací, ale také moderní projevy náboženství, jako jsou dalajlámova televizní diplomacie a papežovy cesty. Druhým fenoménem je „globalatinizace“, což je aliance mezi tele-technovědeckým kapitalismem a křesťanstvím jakožto zkušeností smrti boha. Tato dualita zahrnuje víru a tradicionalismus na jedné straně a vědění, sekularizaci a demokracii na straně druhé. Kniha se ptá, zda můžeme odmítat globalatinizaci a zároveň věřit v demokracii jako univerzální model. Jak můžeme myslet univerzalitu, která by nebyla pro druhého formou zla? Je dekonstrukce pokračovatelem Kantova projektu osvícenství? Derrida se snaží uchopit přítomnost jako filosof, religionista a teoretik demokracie, přičemž usiluje o myšlení celkovosti, globálnosti a univerzálnosti, avšak s respektem a odpovědností vůči druhému, předcházející sobě samému.

      Víra a vědění ; Století a odpuštění : (rozhovor Michela Wieworky s Jacquesem Derridou)
    • Jestem uczniem Alaina Touraine’a i zostałem ukształtowany zgodnie z idea głoszącą, że sercem życia społecznego, tym co jest w nim decydujące i centralne, są ruchy społeczne. A więc tym, co dobre, jest ruch społeczny. Tymczasem zdałem sobie sprawę, że znaczna część moich prac, choć nie wszystkie oczywiście, odnosi się do przeciwieństwa dobra. Jestem socjologiem zła lub nieszczęścia, rasizmu, antysemityzmu, przemocy, terroryzmu. Gdybym miał więc zdefiniować najsilniejsze aspekty mojej pracy, to byłaby to refleksja nad złem jako przeciwieństwem dobra, gdyż jestem oczywiście po stronie dobra. fragment wywiadu z Michelem Wieviorką, s. XV

      Dziewięć wykładów z socjologii