Coletta Bürling Livres

Wenn Sie »Die Eismalerin« mochten, dann werden Sie »Die Farben der Insel« lieben! Die Fortsetzung der »Eismalerin« von Kristín Marja Baldursdóttir Die Malerin Karitas lebt allein und zurückgezogen in einem kleinen Dorf an der Küste. Ihre Kinder sieht sie nur selten, Sigmar, ihren Mann, fast gar nicht. Auch ihre künstlerische Karriere will nicht voranschreiten, zu unverständlich und düster wirken ihre Bilder auf die Dorfbevölkerung. Doch Anfang der fünfziger Jahre ändert sich die Lage. Karitas reist nach Paris, um dort neue Inspirationen für ihre Kunst zu erhalten. Zurück in Island findet sie endlich die Anerkennung, die sie verdient. Kann sie Sigmar jetzt auch an ihrem Leben teilhaben lassen?

Depuis une quinzaine d'années maintenant, et tout particulièrement depuis la récente trilogie suédoise Millénium, nous surfons sur la vague des polars nordiques. Alors, si vous ne connaissez pas encore Indridason, le maître du polar islandais, voici le moment de le découvrir ! Une jeune hydrologue qui étudie la brutale baisse des eaux d'un lac trouve soudain un squelette ensablé. C'est le commissaire Erlendur Sveinsson qui est chargé de découvrir l'identité de ce mystérieux macchabée, qui semble dormir au fond du lac depuis une soixantaine d'années. En parallèle, nous suivons le jeune Tomas, parti étudier à Leipzig dans les années 1950. Tandis que l'enquête peine à avancer, l'auteur procède par flash-back : nous suivons ainsi Tomas et ses amis, enthousiastes face au communisme de l'après-guerre. Petit à petit, Indridason égrène subtilement les éléments qui vont s'imbriquer l'un dans l'autre... Comme dans Millénium, les personnages sont atypiques et rien n'est rose dans la vie du commissaire, c'est ce qui le rend si attachant. Un polar subtil, intelligent et dépaysant !

Un nouveau cadavre est retrouvé à Reykjavik.L'inspecteur Erlendur est de mauvaise humeur : encore un de ces meurtres typiquement islandais, un " truc bête et méchant " qui fait perdre son temps à la police... Des photos pornographiques retrouvées chez la victime révèlent une affaire vieille de quarante ans. Et le conduisent tout droit à la " cité des Jarres ", une abominable collection de bocaux renfermant des organes...[Source : 4e de couv.]